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| Le Me-410 : un chasseur-bombardier difficile à intercepter mais à trop faible capacité d'emport |
... car à peine sont-ils de retour à leurs bases qu’une nouvelle tuile s’abat sur les rescapés de cette première mission Steinbock...
Le Débarquement américain à Anzio.
Car aux premières heures du 22 janvier, les troupes du général John Porter Lucas ont en effet investi cette petite station balnéaire dont la particularité, et le seul véritable intérêt, est d’être située sur les arrières de cette fameuse Ligne Gustave qui, depuis des semaines, barre le passage aux forces anglo-américaines en route vers Rome !
Anzio, malheureusement, se soldera au bout du compte par un pitoyable échec (1), mais pour l’heure, pour Hitler, pour le haut-commandement allemand, et, évidemment, pour le maréchal Albert Kesselring, qui commande les forces allemandes en Italie, il faut réagir au plus vite afin d’empêcher les soldats américains de s’enfoncer à l’intérieur des terres, ce qui implique d’expédier immédiatement d’importants renforts à Anzio,... en ce et y compris des bombardiers, lesquels, dans l’éternel et désespérant syndrome de la couverture trop petite qui accable la Luftwaffe depuis maintenant près de trois ans, ne pourront provenir que d’autres Fronts,... y compris donc de Steinbock qui, déjà en sous-effectifs, va ainsi perdre trois de ses escadrilles au profit d’Anzio et du Front italien !
Après le départ de ces derniers, et puisqu'il faut boire le calice jusqu'à la lie, c’est à présent la météo qui s’en mêle et interdit les opérations jusqu’à la nuit du 28 au 29 janvier, lorsqu’une petite vingtaine de chasseurs-bombardiers Me-410 et Fw-190 mènent dans le ciel anglais une mission de bombardement parfaitement anodine mais qui a au moins l’avantage de ne pas provoquer de pertes dans leurs rangs.
Le lendemain soir, 29 janvier, 285 bombardiers sont à nouveau prêts à repartir à l’attaque de Londres.
Reste néanmoins à savoir s’ils obtiendront de meilleurs résultats...
(1) sur le sujet : Saviez-vous que... La Bataille d’Italie
Le Débarquement américain à Anzio.
Car aux premières heures du 22 janvier, les troupes du général John Porter Lucas ont en effet investi cette petite station balnéaire dont la particularité, et le seul véritable intérêt, est d’être située sur les arrières de cette fameuse Ligne Gustave qui, depuis des semaines, barre le passage aux forces anglo-américaines en route vers Rome !
Anzio, malheureusement, se soldera au bout du compte par un pitoyable échec (1), mais pour l’heure, pour Hitler, pour le haut-commandement allemand, et, évidemment, pour le maréchal Albert Kesselring, qui commande les forces allemandes en Italie, il faut réagir au plus vite afin d’empêcher les soldats américains de s’enfoncer à l’intérieur des terres, ce qui implique d’expédier immédiatement d’importants renforts à Anzio,... en ce et y compris des bombardiers, lesquels, dans l’éternel et désespérant syndrome de la couverture trop petite qui accable la Luftwaffe depuis maintenant près de trois ans, ne pourront provenir que d’autres Fronts,... y compris donc de Steinbock qui, déjà en sous-effectifs, va ainsi perdre trois de ses escadrilles au profit d’Anzio et du Front italien !
Après le départ de ces derniers, et puisqu'il faut boire le calice jusqu'à la lie, c’est à présent la météo qui s’en mêle et interdit les opérations jusqu’à la nuit du 28 au 29 janvier, lorsqu’une petite vingtaine de chasseurs-bombardiers Me-410 et Fw-190 mènent dans le ciel anglais une mission de bombardement parfaitement anodine mais qui a au moins l’avantage de ne pas provoquer de pertes dans leurs rangs.
Le lendemain soir, 29 janvier, 285 bombardiers sont à nouveau prêts à repartir à l’attaque de Londres.
Reste néanmoins à savoir s’ils obtiendront de meilleurs résultats...
(1) sur le sujet : Saviez-vous que... La Bataille d’Italie
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