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| Le Heinkel 177, ou le cauchemar-moteur permanent... |
... selon la Troisième Loi de Newton, toute action entraîne nécessairement une réaction égale et opposée.
Il était donc inévitable que la campagne de bombardements massifs lancée par le Bomber Command contre Berlin dès la mi-novembre 1943 entraîne une réaction de la part de la Lufwaffe.
Une réaction certes opposée... mais tout sauf égale !
Car en ces dernières semaines de 1943, la Lufwaffe n’est déjà plus que l’ombre d’elle-même, et n’a même plus les moyens de rééditer ne serait-ce que l’équivalant du Blitz de 1940-1941 !
Depuis la fin officielle du dit Blitz, donc depuis la mi-mai 1941, elle n’a certes jamais cessé de s’en prendre à Londres et à diverses villes du sud de l’Angleterre, mais, parce qu’elle était par trop occupée ailleurs, et particulièrement en URSS, elle n’y a plus consacré qu’un strict minimum de moyens, qui relevaient essentiellement, pour ne pas dire exclusivement, du symbole, et, à ce titre, ne pouvaient donc causer le moindre dommage un tant soit peu significatif.
Dans les deux années suivantes, la simple attrition, mais aussi l’impérieuse nécessité de développer les escadrilles de chasse au détriment de celles de bombardement, n’ont par ailleurs fait que réduire chaque jour un peu plus la capacité de projection d’une Luftwaffe qui, en matière de bombardiers lourds à long rayon d'action, ne dispose toujours - et ne disposera jamais - que de quelques centaines de Heinkel 177, ces étranges "quadrimoteurs à deux hélices", aux performances très inférieures à celles de ses adversaires britanniques,...
Il était donc inévitable que la campagne de bombardements massifs lancée par le Bomber Command contre Berlin dès la mi-novembre 1943 entraîne une réaction de la part de la Lufwaffe.
Une réaction certes opposée... mais tout sauf égale !
Car en ces dernières semaines de 1943, la Lufwaffe n’est déjà plus que l’ombre d’elle-même, et n’a même plus les moyens de rééditer ne serait-ce que l’équivalant du Blitz de 1940-1941 !
Depuis la fin officielle du dit Blitz, donc depuis la mi-mai 1941, elle n’a certes jamais cessé de s’en prendre à Londres et à diverses villes du sud de l’Angleterre, mais, parce qu’elle était par trop occupée ailleurs, et particulièrement en URSS, elle n’y a plus consacré qu’un strict minimum de moyens, qui relevaient essentiellement, pour ne pas dire exclusivement, du symbole, et, à ce titre, ne pouvaient donc causer le moindre dommage un tant soit peu significatif.
Dans les deux années suivantes, la simple attrition, mais aussi l’impérieuse nécessité de développer les escadrilles de chasse au détriment de celles de bombardement, n’ont par ailleurs fait que réduire chaque jour un peu plus la capacité de projection d’une Luftwaffe qui, en matière de bombardiers lourds à long rayon d'action, ne dispose toujours - et ne disposera jamais - que de quelques centaines de Heinkel 177, ces étranges "quadrimoteurs à deux hélices", aux performances très inférieures à celles de ses adversaires britanniques,...
... et à la fiabilité toujours aussi consternante !
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