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| "parce que nous sommes les plus forts", affiche typique de la "drôle de guerre" |
... implantées en plein cœur des villes, les usines d'armements françaises, britanniques mais aussi allemandes tournent désormais à plein régime, en drainant toute la main d’œuvre disponible,... comme elles l'avaient déjà fait 25 ans auparavant.
Mais cette fois, elles ont pourtant bien peu de chances d'échapper à une destruction venue du haut des airs.
Pourtant, après la fulgurante attaque de l'armée allemande en Pologne, et les bombardements effectués sur Varsovie et d'autres villes polonaises, c'est un calme irréel qui s'abat à présent sur l'Europe, où personne ne montre plus la moindre envie de combattre !
En Pologne, les Allemands n'ont sans doute pas perdu grand-monde, mais leurs tanks, leurs avions, leurs véhicules, leurs équipements ont en revanche été rudement éprouvés, que soit sous le feu de l'ennemi, ou alors, et tout simplement, par accidents ou pannes mécaniques.
Rapatrier un million d'hommes à l'Ouest, et les rééquiper en vue de conquérir la France, comme Hitler se propose maintenant de le faire, va à l'évidence exiger plusieurs mois d'efforts soutenus, pendant lesquels le Reich n'aura pas les moyens de faire grand-chose.
Et la situation n'est pas différente côté allié, où le réarmement a débuté bien plus tard qu'en Allemagne, ce qui prive les citoyens enrôlés sous les drapeaux des armes qui leur permettraient de faire dès à présent la guerre qu'on attend d'eux, et les condamne dès lors à l'immobilisme ou, plus exactement, à cette étrange période de ni-guerre-ni-paix qu'on appellera bientôt...
... la drôle de guerre.
Mais cette fois, elles ont pourtant bien peu de chances d'échapper à une destruction venue du haut des airs.
Pourtant, après la fulgurante attaque de l'armée allemande en Pologne, et les bombardements effectués sur Varsovie et d'autres villes polonaises, c'est un calme irréel qui s'abat à présent sur l'Europe, où personne ne montre plus la moindre envie de combattre !
En Pologne, les Allemands n'ont sans doute pas perdu grand-monde, mais leurs tanks, leurs avions, leurs véhicules, leurs équipements ont en revanche été rudement éprouvés, que soit sous le feu de l'ennemi, ou alors, et tout simplement, par accidents ou pannes mécaniques.
Rapatrier un million d'hommes à l'Ouest, et les rééquiper en vue de conquérir la France, comme Hitler se propose maintenant de le faire, va à l'évidence exiger plusieurs mois d'efforts soutenus, pendant lesquels le Reich n'aura pas les moyens de faire grand-chose.
Et la situation n'est pas différente côté allié, où le réarmement a débuté bien plus tard qu'en Allemagne, ce qui prive les citoyens enrôlés sous les drapeaux des armes qui leur permettraient de faire dès à présent la guerre qu'on attend d'eux, et les condamne dès lors à l'immobilisme ou, plus exactement, à cette étrange période de ni-guerre-ni-paix qu'on appellera bientôt...
... la drôle de guerre.
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