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| Le Belfast, menant la chasse au Scharnhorst en retraite vers l'Altenfjord |
... 13h15.
Mais avec une visibilité qui ne cesse de se dégrader, les derniers espoirs de Bey de s’en prendre au JW55B ne tardent cependant pas à s’envoler : impossible de trouver un quelconque cargo dans ces conditions.
A 13h15, la mort dans l’âme, l’amiral allemand donne donc l’ordre de reprendre le cap de l’Altenfjord.
Encore une demi-heure, et le voilà qui, par radio, ordonne à ses destroyers, dont il a pourtant, comme nous l'avons vu, complètement perdu la trace depuis plusieurs heures, d’en faire de même.
Même si elle se terminait ici, l’Opération Ostfront se solderait donc par un cinglant échec - un de plus - pour les grands navires de surface de la Kriegsmarine.
Mais ce nouvel échec va bientôt virer à la tragédie car les trois croiseurs britanniques, cette fois, ne sont nullement disposés à lâcher prise et à s’en retourner tranquillement vers le convoi !
Sachant le Duke of York à présent tout proche, ils ont au contraire décidé de jouer les rabatteurs, et suivent donc le Scharnhorst à la trace, ou plus exactement au radar, en se tenant simplement à distance respectueuse de ses canons de 280mm.
Mais avec une visibilité qui ne cesse de se dégrader, les derniers espoirs de Bey de s’en prendre au JW55B ne tardent cependant pas à s’envoler : impossible de trouver un quelconque cargo dans ces conditions.
A 13h15, la mort dans l’âme, l’amiral allemand donne donc l’ordre de reprendre le cap de l’Altenfjord.
Encore une demi-heure, et le voilà qui, par radio, ordonne à ses destroyers, dont il a pourtant, comme nous l'avons vu, complètement perdu la trace depuis plusieurs heures, d’en faire de même.
Même si elle se terminait ici, l’Opération Ostfront se solderait donc par un cinglant échec - un de plus - pour les grands navires de surface de la Kriegsmarine.
Mais ce nouvel échec va bientôt virer à la tragédie car les trois croiseurs britanniques, cette fois, ne sont nullement disposés à lâcher prise et à s’en retourner tranquillement vers le convoi !
Sachant le Duke of York à présent tout proche, ils ont au contraire décidé de jouer les rabatteurs, et suivent donc le Scharnhorst à la trace, ou plus exactement au radar, en se tenant simplement à distance respectueuse de ses canons de 280mm.
Sur le Duke of York, toujours occupé à se battre contre la houle, Fraser ne cesse d'alterner entre les périodes d'abattement ou d'excitation, selon que les rapports de Burnett lui apprennent qu'il a perdu, ou au contraire retrouvé, le Scharnhorst.
A 15h30, toutefois, le cap et la vitesse de l'allemand paraissent à présent suffisamment clairs pour autoriser son interception...
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