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| Tête décapitée de soldat japonais, fichée sur un tank, des cigarettes remplaçant ses dents, Guadalcanal |
... mais après avoir accepté... l'inacceptable, que faut-il faire des milliers de soldats encore présents à Guadalcanal ?
Pour cette nation de fiers samouraïs, une reddition massive, "à l'occidentale", est naturellement exclue, ce qui ne laisse dès lors le choix qu'entre deux solutions, soit les laisser combattre jusqu'au dernier homme, "pour l'Honneur" et conformément au Code Bushido, soit les évacuer par la mer, "façon Dunkerque", afin qu'ils puissent au moins reprendre la lutte un autre jour et à un autre endroit.
Après quelques hésitations, le Haut-Commandement s'est finalement rallié à la seconde solution, sans doute après avoir réalisé que dans l'état où ils se trouvent, c-à-d épuisés, malades, mourants de faim, privés d'armes et de munitions, ces soldats déguenillés ne pourraient de toute manière combattre grand-chose, et donc apporter quoi que ce soit de valable à l'effort de guerre nippon.
Reste que cette évacuation générale et au bout du compte acceptée par l'Empereur-Dieu lui-même s'annonce tout sauf facile : pour ne pas donner l'éveil aux Américains, elle devra en effet obligatoirement s'effectuer de la manière la plus progressive et discrète possible, donc de nuit, en plusieurs jours, et sur le pont fort peu accommodant des mêmes et inévitables destroyers du Tokyo Express.
Car que les diables américains apprennent l'existence de cette évacuation, réalisent l'état catastrophique des forces japonaises qui leur font face, et décident de se lancer à l'attaque, et ce nouveau Dunkerque se transformera en authentique Bérézina sous les Tropiques !
Heureusement pour les Japonais, leur adversaire est aux antipodes d'imaginer une telle issue...
Pour cette nation de fiers samouraïs, une reddition massive, "à l'occidentale", est naturellement exclue, ce qui ne laisse dès lors le choix qu'entre deux solutions, soit les laisser combattre jusqu'au dernier homme, "pour l'Honneur" et conformément au Code Bushido, soit les évacuer par la mer, "façon Dunkerque", afin qu'ils puissent au moins reprendre la lutte un autre jour et à un autre endroit.
Après quelques hésitations, le Haut-Commandement s'est finalement rallié à la seconde solution, sans doute après avoir réalisé que dans l'état où ils se trouvent, c-à-d épuisés, malades, mourants de faim, privés d'armes et de munitions, ces soldats déguenillés ne pourraient de toute manière combattre grand-chose, et donc apporter quoi que ce soit de valable à l'effort de guerre nippon.
Reste que cette évacuation générale et au bout du compte acceptée par l'Empereur-Dieu lui-même s'annonce tout sauf facile : pour ne pas donner l'éveil aux Américains, elle devra en effet obligatoirement s'effectuer de la manière la plus progressive et discrète possible, donc de nuit, en plusieurs jours, et sur le pont fort peu accommodant des mêmes et inévitables destroyers du Tokyo Express.
Car que les diables américains apprennent l'existence de cette évacuation, réalisent l'état catastrophique des forces japonaises qui leur font face, et décident de se lancer à l'attaque, et ce nouveau Dunkerque se transformera en authentique Bérézina sous les Tropiques !
Heureusement pour les Japonais, leur adversaire est aux antipodes d'imaginer une telle issue...
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