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| Rare photo de non moins rares prisonniers de guerre japonais. Guadalcanal, 5 novembre 1942 |
... "ceci marqua la fin des efforts pour approvisionner la 17ème Armée.
Les conditions de vie de celle-ci touchèrent un nouveau creux, avec des provisions pour les hommes de la 38ème Division réduites au 1/6ème des rations normales pour les troupes de combat et même à 1/10ème pour celles de l'arrière.
Sur les quelque 6 000 hommes de la division, seuls 250 étaient encore réellement jugés aptes au combat. Les 4ème et 16ème Régiments d'Infanterie de la 2ème Division étaient quant à eux réduits à un total de 1 000 hommes, dont 200 au maximum étaient considérés aptes au combat.
Toute l'Armée était affaiblie, et à la famine s'ajoutaient les maladies, pour lesquelles, il n'y avait pas de médicaments. Les hommes en étaient réduits à manger tout ce qu'ils pouvaient trouver" (1)
Le 12 décembre, réalisant l'impossibilité de poursuivre ses efforts pour ravitailler l'île, et la complète futilité de ceux-ci, les plus hauts responsables de la Marine impériale, en ce compris Yamamoto, réclament l'abandon pur et simple de l'île.
Les responsables de l'Armée impériale s'objectent, veulent encore y croire, mais, après plusieurs jours, finissent eux aussi par accepter l'inacceptable, que sa Divine Majesté elle-même va formellement entériner le 31 décembre,...
... abandonner Guadalcanal, et donc reconnaître la victoire des Américains
(1) Stille, op cit
Les conditions de vie de celle-ci touchèrent un nouveau creux, avec des provisions pour les hommes de la 38ème Division réduites au 1/6ème des rations normales pour les troupes de combat et même à 1/10ème pour celles de l'arrière.
Sur les quelque 6 000 hommes de la division, seuls 250 étaient encore réellement jugés aptes au combat. Les 4ème et 16ème Régiments d'Infanterie de la 2ème Division étaient quant à eux réduits à un total de 1 000 hommes, dont 200 au maximum étaient considérés aptes au combat.
Toute l'Armée était affaiblie, et à la famine s'ajoutaient les maladies, pour lesquelles, il n'y avait pas de médicaments. Les hommes en étaient réduits à manger tout ce qu'ils pouvaient trouver" (1)
Le 12 décembre, réalisant l'impossibilité de poursuivre ses efforts pour ravitailler l'île, et la complète futilité de ceux-ci, les plus hauts responsables de la Marine impériale, en ce compris Yamamoto, réclament l'abandon pur et simple de l'île.
Les responsables de l'Armée impériale s'objectent, veulent encore y croire, mais, après plusieurs jours, finissent eux aussi par accepter l'inacceptable, que sa Divine Majesté elle-même va formellement entériner le 31 décembre,...
... abandonner Guadalcanal, et donc reconnaître la victoire des Américains
(1) Stille, op cit
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