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| La bataille pour l'aérodrome de Peleliu, dans la série Le Pacifique |
… de fait, il faut pas moins d’une semaine, et de lourdes pertes, aux Marines pour se rendre maîtres de l’aérodrome et de la partie sud de l’île de Peleliu.
Mais le problème, c’est que le dit aérodrome - objectif principal de toute l’opération - demeure sous le feu permanent qui émane des collines avoisinantes, ce qui interdit toute rotation d’appareils lourds et limite les décollages et atterrissages aux seuls chasseurs-bombardiers d’appui au sol,… et aux seuls pilotes assez courageux pour tenter l’aventure sous la mitraille, et assez talentueux pour le faire sans capoter immédiatement dans un des innombrables cratères de bombe ou d’obus qui parsèment la piste !
Or le temps presse puisque cet aérodrome, rappelons-nous, est considéré comme vital pour le futur débarquement de Leyte, et que le dit débarquement, prévu pour le mois de décembre, a été avancé au 20 octobre !
Pour les services de renseignement de MacArthur, ce changement de date était sans importance puisque Peleliu était supposée tomber en moins d’une semaine. Mais comme l’avait au contraire sombrement pronostiqué Halsey, cette affaire de "trois ou quatre jours" va en fait se transformer en une terrifiante lutte d'attrition de… deux mois (!), laquelle se soldera certes par une victoire américaine, mais aussi par la perte de plus de 6 500 soldats, tués, blessés ou portés disparus,… soit la moitié de la 1ère Division de Marines !
Et tout cela pour rien...
Mais le problème, c’est que le dit aérodrome - objectif principal de toute l’opération - demeure sous le feu permanent qui émane des collines avoisinantes, ce qui interdit toute rotation d’appareils lourds et limite les décollages et atterrissages aux seuls chasseurs-bombardiers d’appui au sol,… et aux seuls pilotes assez courageux pour tenter l’aventure sous la mitraille, et assez talentueux pour le faire sans capoter immédiatement dans un des innombrables cratères de bombe ou d’obus qui parsèment la piste !
Or le temps presse puisque cet aérodrome, rappelons-nous, est considéré comme vital pour le futur débarquement de Leyte, et que le dit débarquement, prévu pour le mois de décembre, a été avancé au 20 octobre !
Pour les services de renseignement de MacArthur, ce changement de date était sans importance puisque Peleliu était supposée tomber en moins d’une semaine. Mais comme l’avait au contraire sombrement pronostiqué Halsey, cette affaire de "trois ou quatre jours" va en fait se transformer en une terrifiante lutte d'attrition de… deux mois (!), laquelle se soldera certes par une victoire américaine, mais aussi par la perte de plus de 6 500 soldats, tués, blessés ou portés disparus,… soit la moitié de la 1ère Division de Marines !
Et tout cela pour rien...
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