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| Plaque commémorative à l'emplacement où se trouvait la baraque détruite le 20 juillet 1944 |
… à la Wolfsschanze,Adolf Hitler, qui craignait en permanence d’être victime d’une attaque contre sa personne, vivait nuit et jour dans des bunkers munis d’énormes portes blindées, et revêtus d’une couche de plusieurs mètres de béton armé.
Pourtant, lorsque l’attaque se produisit, il se trouvait paradoxalement à l’intérieur d’une vulgaire baraque en bois, ce qui, tout aussi paradoxalement, lui sauva sans conteste la vie, attendu qu’il n’aurait jamais survécu à l’explosion si celle-ci avait eu lieu à l’intérieur d’un de ses bunkers habituels !
Et à la Wolfsschanze, Hitler était protégé par quantités de champs de mines, de canons et de mitrailleuses, et par des milliers de soldats en armes, qui arpentaient l’intégralité du périmètre du camp à toute heure du jour et de la nuit, et ne laissaient entrer personne sauf si détenteur d’un rare et précieux sésame, et toujours sous bonne escorte.
Pourtant, c’est avec une facilité dérisoire qu’un homme seul, Claus Schenk von Stauffenberg, qui n’avait qu’un œil, une main et seulement trois doigts valides (!), et juste des éléments d’une petite bombe dissimulés dans une simple serviette en cuir jaune, parvint à pénétrer jusqu’au Saint des saints, à y assembler sa machine infernale, à la déposer juste à côté de l’homme le plus protégé d’Europe, à la faire exploser,… et même à quitter ensuite les lieux sans se faire arrêter !
Avec un peu de chance, et un peu moins de précipitation, cet attentat aussi réel qu’improbable aurait pu réussir et débarrasser prématurément le Monde du dictateur fou qui s’était juré de le conquérir par le feu et le sang.
Pourtant, lorsque l’attaque se produisit, il se trouvait paradoxalement à l’intérieur d’une vulgaire baraque en bois, ce qui, tout aussi paradoxalement, lui sauva sans conteste la vie, attendu qu’il n’aurait jamais survécu à l’explosion si celle-ci avait eu lieu à l’intérieur d’un de ses bunkers habituels !
Et à la Wolfsschanze, Hitler était protégé par quantités de champs de mines, de canons et de mitrailleuses, et par des milliers de soldats en armes, qui arpentaient l’intégralité du périmètre du camp à toute heure du jour et de la nuit, et ne laissaient entrer personne sauf si détenteur d’un rare et précieux sésame, et toujours sous bonne escorte.
Pourtant, c’est avec une facilité dérisoire qu’un homme seul, Claus Schenk von Stauffenberg, qui n’avait qu’un œil, une main et seulement trois doigts valides (!), et juste des éléments d’une petite bombe dissimulés dans une simple serviette en cuir jaune, parvint à pénétrer jusqu’au Saint des saints, à y assembler sa machine infernale, à la déposer juste à côté de l’homme le plus protégé d’Europe, à la faire exploser,… et même à quitter ensuite les lieux sans se faire arrêter !
Avec un peu de chance, et un peu moins de précipitation, cet attentat aussi réel qu’improbable aurait pu réussir et débarrasser prématurément le Monde du dictateur fou qui s’était juré de le conquérir par le feu et le sang.
Le Destin, le hasard, Dieu ou le Diable, en décida cependant autrement...

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