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| L'Opération Bagration : pour la Wehrmacht, un désastre d'une ampleur inimaginable... |
… Berghof, 22 juin 1944
Le 22 juin 1944, cela fait exactement trois ans qu’Adolf Hitler a lancé la Wehrmacht à l’assaut de l’URSS lors de l’Opération Barbarossa.
… mais le 22 juin 1944, c’est également le jour qu’a choisi Joseph Staline pour lancer l’Armée rouge à la reconquête de la Biélorussie dans le cadre de l’Opération Bagration !
Et quel assaut ! Dès les premières heures du 22, plus de deux millions de soldats, appuyé par plus de vingt-deux mille canons, quatre mille tanks et six mille avions, se lancent à l’assaut des positions allemandes, dont les effectifs sont trois fois inférieurs en personnel et jusqu’à huit fois en matière de chars ou d’appareils de combat !
Fidèle à son habitude, Hitler interdit toute retraite, mais le rouleau-compresseur soviétique se moque des "ordres personnels du Führer" et écrase tout sur son passage, et ce malgré toutes les tentatives de Model, promu nouveau "pompier" de la Wehrmacht, pour l’arrêter.
Mais pour Hitler, le nouveau désastre militaire qui se profile - en cinq jours de combats autour de Bobrouïsk, la seule 9ème Armée allemande perd quelque 50 000 hommes ! - pose un problème supplémentaire…
… doit-il retourner à Wolfsschanze pour mieux superviser les opérations à l’Est… ou demeurer au Berghof pour superviser celles qui se déroulent au même moment à l’Ouest ?
Le 22 juin 1944, cela fait exactement trois ans qu’Adolf Hitler a lancé la Wehrmacht à l’assaut de l’URSS lors de l’Opération Barbarossa.
… mais le 22 juin 1944, c’est également le jour qu’a choisi Joseph Staline pour lancer l’Armée rouge à la reconquête de la Biélorussie dans le cadre de l’Opération Bagration !
Et quel assaut ! Dès les premières heures du 22, plus de deux millions de soldats, appuyé par plus de vingt-deux mille canons, quatre mille tanks et six mille avions, se lancent à l’assaut des positions allemandes, dont les effectifs sont trois fois inférieurs en personnel et jusqu’à huit fois en matière de chars ou d’appareils de combat !
Fidèle à son habitude, Hitler interdit toute retraite, mais le rouleau-compresseur soviétique se moque des "ordres personnels du Führer" et écrase tout sur son passage, et ce malgré toutes les tentatives de Model, promu nouveau "pompier" de la Wehrmacht, pour l’arrêter.
Mais pour Hitler, le nouveau désastre militaire qui se profile - en cinq jours de combats autour de Bobrouïsk, la seule 9ème Armée allemande perd quelque 50 000 hommes ! - pose un problème supplémentaire…
… doit-il retourner à Wolfsschanze pour mieux superviser les opérations à l’Est… ou demeurer au Berghof pour superviser celles qui se déroulent au même moment à l’Ouest ?
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