Mussolini et Hitler, au Wolfsschanze, en aout 1941 |
… Wolfsschanze, 25 août 1941
Le 25 août, c’est cependant un Hitler raisonnablement rétabli, et surtout fier comme un paon, qui accueille son complice en fascisme, Benito Mussolini, pour sa première visite à la Wolfsschanze.
Et telle une maîtresse de maison vaniteuse mais sûre de la supériorité de son logis sur celui de sa visiteuse, le Führer d’arpenter la place d’un bout à l’autre, vantant au Duce la taille inégalée des bunkers, la formidable épaisseur de leur béton, ou encore le nombre impressionnant de tanks, de canons et de soldats qui défendent le site en permanence .
Vanitas Vanitatum, Omnia Vanitas
Et le malheureux Mussolini, dont les armées - et c’est bien le moins qu’on puisse en dire (1) - n’ont pas du tout brillé depuis le début du conflit, et qui ne possède en vérité rien qui ressemble même de loin à la Wolfsschanze, le malheureux Mussolini n’a d’autre choix que de suivre Hitler et de s’émerveiller - sincèrement ou non - de la splendeur et de la qualité du nouveau quartier-général de campagne si complaisamment détaillé par son hôte
Et le supplice du Duce n’est pas fini puisque, la visite terminée, son "ami Hitler" ne peut s’empêcher de lui imposer un des interminables monologues dont il a le secret, convenant certes que sa "Croisade à l’est" ne se déroule pas exactement aussi bien que prévu, mais demeurant néanmoins convaincu que la victoire est à portée de mains, et au pire pour le printemps de l’année suivante…
(1) Saviez-vous que… Forza Italia
Le 25 août, c’est cependant un Hitler raisonnablement rétabli, et surtout fier comme un paon, qui accueille son complice en fascisme, Benito Mussolini, pour sa première visite à la Wolfsschanze.
Et telle une maîtresse de maison vaniteuse mais sûre de la supériorité de son logis sur celui de sa visiteuse, le Führer d’arpenter la place d’un bout à l’autre, vantant au Duce la taille inégalée des bunkers, la formidable épaisseur de leur béton, ou encore le nombre impressionnant de tanks, de canons et de soldats qui défendent le site en permanence .
Vanitas Vanitatum, Omnia Vanitas
Et le malheureux Mussolini, dont les armées - et c’est bien le moins qu’on puisse en dire (1) - n’ont pas du tout brillé depuis le début du conflit, et qui ne possède en vérité rien qui ressemble même de loin à la Wolfsschanze, le malheureux Mussolini n’a d’autre choix que de suivre Hitler et de s’émerveiller - sincèrement ou non - de la splendeur et de la qualité du nouveau quartier-général de campagne si complaisamment détaillé par son hôte
Et le supplice du Duce n’est pas fini puisque, la visite terminée, son "ami Hitler" ne peut s’empêcher de lui imposer un des interminables monologues dont il a le secret, convenant certes que sa "Croisade à l’est" ne se déroule pas exactement aussi bien que prévu, mais demeurant néanmoins convaincu que la victoire est à portée de mains, et au pire pour le printemps de l’année suivante…
(1) Saviez-vous que… Forza Italia
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