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| Barbarossa : le danger à perte de vue... |
... paradoxalement, le ralentissement de la progression ne s'accompagne pourtant d'aucun changement dans les rapports de pertes soviétiques qui parviennent à la Wolfsschanze !
La Luftwaffe a beau détruire des centaines d'avions et de tanks supplémentaires, et la Wehrmacht continuer à tuer ou capturer des dizaines de milliers de soldats soviétiques de plus, les réserves d'avions, de tanks et de soldats russes semblent inépuisables !
Pire : en Biélorussie, les divisions blindées allemandes ont même eu la désagréable surprise de tomber sur les premiers exemplaires du char T-34, contre lequel elles se sont trouvées dramatiquement démunies.
Heureusement pour elles, le nouveau tank bolchevique manque fortement de mise au point et, surtout, le commandement russe ne sait pas du tout comment s'en servir !
L’alerte n’en est pas moins donnée et beaucoup, sur le terrain comme au quartier-général d’Hitler, commencent à craindre le moment où les Soviétiques, ayant enfin appris de leurs erreurs, parviendront à utiliser leurs hommes, leurs tanks et leurs avions de manière efficace et coordonnée plutôt que de les envoyer à l'abattoir de façon aussi improvisée que meurtrière pour eux.
Et pour ne rien arranger, il y a cette alliance que Staline vient de forger avec Churchill en attendant de le faire un jour avec Roosevelt…
La Luftwaffe a beau détruire des centaines d'avions et de tanks supplémentaires, et la Wehrmacht continuer à tuer ou capturer des dizaines de milliers de soldats soviétiques de plus, les réserves d'avions, de tanks et de soldats russes semblent inépuisables !
Pire : en Biélorussie, les divisions blindées allemandes ont même eu la désagréable surprise de tomber sur les premiers exemplaires du char T-34, contre lequel elles se sont trouvées dramatiquement démunies.
Heureusement pour elles, le nouveau tank bolchevique manque fortement de mise au point et, surtout, le commandement russe ne sait pas du tout comment s'en servir !
L’alerte n’en est pas moins donnée et beaucoup, sur le terrain comme au quartier-général d’Hitler, commencent à craindre le moment où les Soviétiques, ayant enfin appris de leurs erreurs, parviendront à utiliser leurs hommes, leurs tanks et leurs avions de manière efficace et coordonnée plutôt que de les envoyer à l'abattoir de façon aussi improvisée que meurtrière pour eux.
Et pour ne rien arranger, il y a cette alliance que Staline vient de forger avec Churchill en attendant de le faire un jour avec Roosevelt…
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