Toutes folles de lui,... mais lui ne l'était de personne |
… et enfin, il faut bien le dire, il y a le fait que, contrairement au Berghof ou à la Chancellerie, le Front constitue un univers presque exclusivement… masculin.
Depuis des décennies, les relations, pour le moins étranges, entre Hitler et le beau sexe ont fait l’objet d’innombrables analyses, débats et ouvrages.
Dans un régime exaltant à ce point la puissance virile et l’absolue nécessité, pour tout Aryen, de prendre épouse et d’avoir des enfants, le fait qu’Hitler, contrairement à Staline, Churchill, Roosevelt ou encore Mussolini, ne se soit jamais marié, sauf dans les ultimes heures de sa vie, quand plus rien n’avait d’importance, et n’ait jamais eu d’enfant, est déjà une incongruité en soi.
Si quantités de femmes sont tombées amoureuses d’Hitler, au point parfois de se suicider pour lui, Hitler, lui, n’est jamais tombé amoureux de personne, si ce n’est, peut-être, de sa nièce Geli, de vingt ans sa cadette, et ses relations avec la gent féminine semblent n’avoir jamais dépassé le stade du superficiel et du platonique.
Souvent évoquée, mais jamais démontrée, l’homosexualité, ou du moins l’homoérotisme d’Hitler n’est pas à exclure : toujours mal à l’aise avec les femmes, qu’il considérait, à de très rares exceptions-près, comme de petites créatures fragiles et insignifiantes, justes bonne à agrémenter un manteau de cheminée, Hitler préférait incontestablement la compagnie des hommes,... sans même parler de celle de son chien.
Bien loin de le rebuter, la vie monacale d’un Q.G. de campagne, où la présence féminine se limitait en pratique à quelques très rares secrétaires et à une éventuelle infirmière de passage, semble au contraire l’avoir attiré, et le fait qu’il y passa de plus en plus de temps, et pour finir l’essentiel de ces dernières années de vie…
Depuis des décennies, les relations, pour le moins étranges, entre Hitler et le beau sexe ont fait l’objet d’innombrables analyses, débats et ouvrages.
Dans un régime exaltant à ce point la puissance virile et l’absolue nécessité, pour tout Aryen, de prendre épouse et d’avoir des enfants, le fait qu’Hitler, contrairement à Staline, Churchill, Roosevelt ou encore Mussolini, ne se soit jamais marié, sauf dans les ultimes heures de sa vie, quand plus rien n’avait d’importance, et n’ait jamais eu d’enfant, est déjà une incongruité en soi.
Si quantités de femmes sont tombées amoureuses d’Hitler, au point parfois de se suicider pour lui, Hitler, lui, n’est jamais tombé amoureux de personne, si ce n’est, peut-être, de sa nièce Geli, de vingt ans sa cadette, et ses relations avec la gent féminine semblent n’avoir jamais dépassé le stade du superficiel et du platonique.
Souvent évoquée, mais jamais démontrée, l’homosexualité, ou du moins l’homoérotisme d’Hitler n’est pas à exclure : toujours mal à l’aise avec les femmes, qu’il considérait, à de très rares exceptions-près, comme de petites créatures fragiles et insignifiantes, justes bonne à agrémenter un manteau de cheminée, Hitler préférait incontestablement la compagnie des hommes,... sans même parler de celle de son chien.
Bien loin de le rebuter, la vie monacale d’un Q.G. de campagne, où la présence féminine se limitait en pratique à quelques très rares secrétaires et à une éventuelle infirmière de passage, semble au contraire l’avoir attiré, et le fait qu’il y passa de plus en plus de temps, et pour finir l’essentiel de ces dernières années de vie…
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