… revenons à présent au 6ème Corps américain de Truscott, que nous avons abandonné le 16 aout alors qu’il commençait à quitter les plages du débarquement pour céder la place aux Français.
Selon le plan prévu pour Dragoon, la 36ème D.I., après avoir libéré Cannes et Nice, et poussé jusqu’à la frontière italienne, doit ensuite remonter vers le Nord en protégeant le flanc droit des 3ème et 45ème D.I., qui pousseront quant à elles vers Grenoble et la Vallée du Rhône, s’empareront de Lyon puis rejoindront, à terme, le gros des forces alliées quelque part en Bourgogne.
Mais le 17 aout, la décision précipitée d’Hitler de battre en retraite vient bouleverser la donne !
Connue des services de décryptage alliés avant-même qu’elle ne soit formellement transmise au général Wiese (!), cette décision laisse en effet entrevoir la possibilité de piéger le gros de la 19ème Armée allemande avant qu’elle n’ait eu le temps de se mettre à l’abri.
Contrainte de remonter sur les deux rives de la Vallée du Rhône, celle-ci devra inévitablement passer en son point le plus étroit, c-à-d quelques kilomètres au Nord de Montélimar
C’est là, et nulle part ailleurs, qu’on pourra refermer la nasse sur elle,… à condition, évidemment, d’y arriver avant elle !
Et c’est bien là le problème…
Selon le plan prévu pour Dragoon, la 36ème D.I., après avoir libéré Cannes et Nice, et poussé jusqu’à la frontière italienne, doit ensuite remonter vers le Nord en protégeant le flanc droit des 3ème et 45ème D.I., qui pousseront quant à elles vers Grenoble et la Vallée du Rhône, s’empareront de Lyon puis rejoindront, à terme, le gros des forces alliées quelque part en Bourgogne.
Mais le 17 aout, la décision précipitée d’Hitler de battre en retraite vient bouleverser la donne !
Connue des services de décryptage alliés avant-même qu’elle ne soit formellement transmise au général Wiese (!), cette décision laisse en effet entrevoir la possibilité de piéger le gros de la 19ème Armée allemande avant qu’elle n’ait eu le temps de se mettre à l’abri.
Contrainte de remonter sur les deux rives de la Vallée du Rhône, celle-ci devra inévitablement passer en son point le plus étroit, c-à-d quelques kilomètres au Nord de Montélimar
C’est là, et nulle part ailleurs, qu’on pourra refermer la nasse sur elle,… à condition, évidemment, d’y arriver avant elle !
Et c’est bien là le problème…
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