"Vive les Alliés", Monte-Carlo, aout 1944 |
… côté allemand, ce débarquement, est cependant tout sauf une surprise puisque, et comme nous l'avons vu, prévu et attendu depuis longtemps !
Mais ceci dit, comment y faire face avec le peu de moyens - par ailleurs le plus souvent de deuxième ou de troisième ordre - dont on dispose ? Comment, en particulier, et faute de véhicules et d’essence, acheminer maintenant des renforts vers les unités et les endroits les plus exposés de ce nouveau Front ?
Et comment donner également les ordres nécessaires, et recevoir et communiquer les informations vitales, quand, du fait des nombreux sabotages de la Résistance, la seule ligne téléphonique dont dispose encore le général Ferdinand Neuling, commandant du 62ème Corps d’Armée, est celle qui le relie au Q.G. avignonnais du général Wiese,… près de 200 kms en arrière du dit Front ?
Dans l’ancienne cité papale, Wiese, justement, a parfaitement deviné le sens de la manœuvre alliée, qui vise pour une part à remonter vers le Nord, et de l’autre à s’emparer de Toulon et finalement de Marseille en les prenant à revers par l’Est.
Mais là encore, comment empêcher les dits Alliés d’arriver à leurs fins quand la seule formation, au demeurant très affaiblie, qui pourrait raisonnablement s’y opposer se trouve à présent piégée du mauvais côté du Rhône ?
Mais ceci dit, comment y faire face avec le peu de moyens - par ailleurs le plus souvent de deuxième ou de troisième ordre - dont on dispose ? Comment, en particulier, et faute de véhicules et d’essence, acheminer maintenant des renforts vers les unités et les endroits les plus exposés de ce nouveau Front ?
Et comment donner également les ordres nécessaires, et recevoir et communiquer les informations vitales, quand, du fait des nombreux sabotages de la Résistance, la seule ligne téléphonique dont dispose encore le général Ferdinand Neuling, commandant du 62ème Corps d’Armée, est celle qui le relie au Q.G. avignonnais du général Wiese,… près de 200 kms en arrière du dit Front ?
Dans l’ancienne cité papale, Wiese, justement, a parfaitement deviné le sens de la manœuvre alliée, qui vise pour une part à remonter vers le Nord, et de l’autre à s’emparer de Toulon et finalement de Marseille en les prenant à revers par l’Est.
Mais là encore, comment empêcher les dits Alliés d’arriver à leurs fins quand la seule formation, au demeurant très affaiblie, qui pourrait raisonnablement s’y opposer se trouve à présent piégée du mauvais côté du Rhône ?
Aucun commentaire:
Publier un commentaire