Mais pendant que se déroulaient ces différents événements, la force d’invasion alliée est quant à elle parvenue à proximité des côtes de Provence.
Et bien que là encore sans commune mesure avec celle qui, à peine deux mois auparavant, s’était présentée devant celles de Normandie, la dite force est pour le moins impressionnante, puisque forte de quelque 900 navires de tout type, mais aussi de plus de 1 300 péniches et chalands de débarquement de divers tonnages.
Et une fois encore, les éléments les plus visibles - mais pas nécessairement les plus efficaces - de cette armada, sont sans conteste les vieux cuirassés américains, britanniques et même français, tous vétérans de la 1ère G.M. et qui, dans le bombardement des plages, ont enfin trouvé une occasion de se rendre utiles avant leur inévitable envoi à la ferraille.
A 06h06, après un ultime passage des dragueurs de mines, ces mastodontes entament donc leur pilonnage, immédiatement rejoints par le feu des dizaines de croiseurs et plus modestes destroyers.
Au total, quelque 16 000 obus (!) de tout calibre vont ainsi être expédiés sur le littoral français et les emplacements présumés des défenses ennemies.
16 000 obus… mais aussi des milliers de bombes larguées au même moment par des centaines de bombardiers, qui vont se relayer sur place pendant près d’une heure et demie…
Et bien que là encore sans commune mesure avec celle qui, à peine deux mois auparavant, s’était présentée devant celles de Normandie, la dite force est pour le moins impressionnante, puisque forte de quelque 900 navires de tout type, mais aussi de plus de 1 300 péniches et chalands de débarquement de divers tonnages.
Et une fois encore, les éléments les plus visibles - mais pas nécessairement les plus efficaces - de cette armada, sont sans conteste les vieux cuirassés américains, britanniques et même français, tous vétérans de la 1ère G.M. et qui, dans le bombardement des plages, ont enfin trouvé une occasion de se rendre utiles avant leur inévitable envoi à la ferraille.
A 06h06, après un ultime passage des dragueurs de mines, ces mastodontes entament donc leur pilonnage, immédiatement rejoints par le feu des dizaines de croiseurs et plus modestes destroyers.
Au total, quelque 16 000 obus (!) de tout calibre vont ainsi être expédiés sur le littoral français et les emplacements présumés des défenses ennemies.
16 000 obus… mais aussi des milliers de bombes larguées au même moment par des centaines de bombardiers, qui vont se relayer sur place pendant près d’une heure et demie…
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