… si la présence des Italiens s’est quelque peu renforcée au plan militaire, il en va cependant tout autrement au niveau politique !
Car qu'ils appartiennent à la République Sociale Italienne ou alors au Royaume d’Italie, les responsables politiques italiens ne gouvernent en vérité pas grand-chose, et demeurent tous entièrement sous la coupe de leurs alliés - ou plutôt maîtres et occupants - respectifs !
Au Nord, la sphère d’influence de la RSI s’est même réduite comme peau de chagrin à mesure des avancées anglo-américaines, et se limite à présent à la seule fraction de l’Italie du Nord qui n’est pas directement administrée par le Reich ou son alliée croate.
Encore cette fraction-là doit-elle directement affronter, sur son propre sol, des mouvements de Résistance de plus en plus nombreux et déterminés, qui, même de jour, rendent tout déplacement risqué et entraînent en conséquence une répression de plus en plus aveugle et féroce de la part des quelques jusqu’au-boutistes encore fidèles à un Benito Mussolini qui, constamment protégé - ou alors surveillé - par une escouade de SS allemands, demeure pour sa part largement invisible et ne demanderait assurément pas mieux que d’être enfin autorisé par Hitler à partir à la retraite et le plus loin possible de l’Italie !
Mais, plus encore qu’en 1943, et pour les mêmes raisons, "l’ami Hitler" n’a aucune intention d'accéder à pareille demande, ce qui, de facto, condamne donc Mussolini et son régime fantoche à cheminer aux côtés du Führer et du Troisième Reich vers un destin que chacun sait désormais aussi inévitable que funeste…
Au Nord, la sphère d’influence de la RSI s’est même réduite comme peau de chagrin à mesure des avancées anglo-américaines, et se limite à présent à la seule fraction de l’Italie du Nord qui n’est pas directement administrée par le Reich ou son alliée croate.
Encore cette fraction-là doit-elle directement affronter, sur son propre sol, des mouvements de Résistance de plus en plus nombreux et déterminés, qui, même de jour, rendent tout déplacement risqué et entraînent en conséquence une répression de plus en plus aveugle et féroce de la part des quelques jusqu’au-boutistes encore fidèles à un Benito Mussolini qui, constamment protégé - ou alors surveillé - par une escouade de SS allemands, demeure pour sa part largement invisible et ne demanderait assurément pas mieux que d’être enfin autorisé par Hitler à partir à la retraite et le plus loin possible de l’Italie !
Mais, plus encore qu’en 1943, et pour les mêmes raisons, "l’ami Hitler" n’a aucune intention d'accéder à pareille demande, ce qui, de facto, condamne donc Mussolini et son régime fantoche à cheminer aux côtés du Führer et du Troisième Reich vers un destin que chacun sait désormais aussi inévitable que funeste…
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