La 3ème Bataille de Cassino : un échec pire que les précédents... |
… Cassino, 21 mars 1944
Sur le papier, l’engagement de la 78ème D.I., jusqu’ici tenue en réserve et en prévision de la percée dans la Vallée de la Liri, pourrait changer la donne, mais le problème c’est qu’avec le chaos et la congestion qui continuent de régner à Cassino, ce déploiement n’aboutit en fait qu’à empiler de nouveaux fantassins et de nouveaux tanks dans ce qui est bel et bien devenu une impasse inextricable.
Freyberg, pourtant, veut encore y croire : dans l’après-midi du 21 mars, il réussit même à persuader Alexander de lui accorder jusqu’à 48 heures de plus.
Les Allemands, estime-t-on dans son entourage, sont épuisés et ont subi de lourdes pertes, en sorte que ces quelques heures supplémentaires pourraient bel et bien marquer la différence entre le succès et l’échec.
Et de fait, s’il s’agissait de soldats ordinaires, et non pas de Fallschirmjäger, Freyberg pourrait peut-être réussir son pari, mais deux jours plus tard, la défense allemande ne montrant toujours aucun signe d’effondrement, l’intéressé n’a hélas d’autre choix que de réclamer lui-même l’arrêt des combats, une demande à laquelle Clark et Alexander s’empressent d'ailleurs d’acquiescer.
C’est fini : comme toutes les opérations précédentes, Dickens se solde donc par un nouvel échec, cette fois sans appel…
Sur le papier, l’engagement de la 78ème D.I., jusqu’ici tenue en réserve et en prévision de la percée dans la Vallée de la Liri, pourrait changer la donne, mais le problème c’est qu’avec le chaos et la congestion qui continuent de régner à Cassino, ce déploiement n’aboutit en fait qu’à empiler de nouveaux fantassins et de nouveaux tanks dans ce qui est bel et bien devenu une impasse inextricable.
Freyberg, pourtant, veut encore y croire : dans l’après-midi du 21 mars, il réussit même à persuader Alexander de lui accorder jusqu’à 48 heures de plus.
Les Allemands, estime-t-on dans son entourage, sont épuisés et ont subi de lourdes pertes, en sorte que ces quelques heures supplémentaires pourraient bel et bien marquer la différence entre le succès et l’échec.
Et de fait, s’il s’agissait de soldats ordinaires, et non pas de Fallschirmjäger, Freyberg pourrait peut-être réussir son pari, mais deux jours plus tard, la défense allemande ne montrant toujours aucun signe d’effondrement, l’intéressé n’a hélas d’autre choix que de réclamer lui-même l’arrêt des combats, une demande à laquelle Clark et Alexander s’empressent d'ailleurs d’acquiescer.
C’est fini : comme toutes les opérations précédentes, Dickens se solde donc par un nouvel échec, cette fois sans appel…
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