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| Bulldozer déblayant les ruines, en mai, après la prise de la ville et du Monastère |
… 20 mars 1944
Contraints de battre en retraite, mais nullement découragés pour la cause, les Américains du 760ème tentent à nouveau leur chance dans l’après-midi.
Mais alors qu’il progresse lentement vers Monte Cassino, le char de tête saute sur une mine, ce qui, sur l’étroite piste où il progresse, immobilise irrémédiablement la colonne.
Nouvelle retraite donc,... qui entraîne la destruction de quatre tanks supplémentaires, l’un victime d’une mine, l’autre d’un canon antitank,... et les deux autres tout simplement engloutis dans des cratères de boue !
En moins d’une journée, le 760ème a donc perdu une dizaine de tanks pour un résultat nul puisque les Indiens, par ailleurs trop peu nombreux, ont été incapables d’exploiter la situation et de conserver le terrain conquis.
S’il peut sembler, une fois encore, ne relever que de l’anecdote, cet épisode n’en illustre pas moins à la perfection l’impasse dans laquelle Dickens se trouve engagé depuis le début, avec des tanks incapables d’avancer pour protéger les fantassins, des fantassins trop peu nombreux pour protéger les tanks,… et les uns et les autres contraints de progresser sur un Front et des axes terriblement étroits, qui les placent à la merci des tirs ennemis.
Et ce n’est pas l’engagement, à partir du 20 mars, de la 78ème D.I. britannique, troisième et dernière composante du Corps néo-zélandais, qui va y changer quoi que ce soit…
Contraints de battre en retraite, mais nullement découragés pour la cause, les Américains du 760ème tentent à nouveau leur chance dans l’après-midi.
Mais alors qu’il progresse lentement vers Monte Cassino, le char de tête saute sur une mine, ce qui, sur l’étroite piste où il progresse, immobilise irrémédiablement la colonne.
Nouvelle retraite donc,... qui entraîne la destruction de quatre tanks supplémentaires, l’un victime d’une mine, l’autre d’un canon antitank,... et les deux autres tout simplement engloutis dans des cratères de boue !
En moins d’une journée, le 760ème a donc perdu une dizaine de tanks pour un résultat nul puisque les Indiens, par ailleurs trop peu nombreux, ont été incapables d’exploiter la situation et de conserver le terrain conquis.
S’il peut sembler, une fois encore, ne relever que de l’anecdote, cet épisode n’en illustre pas moins à la perfection l’impasse dans laquelle Dickens se trouve engagé depuis le début, avec des tanks incapables d’avancer pour protéger les fantassins, des fantassins trop peu nombreux pour protéger les tanks,… et les uns et les autres contraints de progresser sur un Front et des axes terriblement étroits, qui les placent à la merci des tirs ennemis.
Et ce n’est pas l’engagement, à partir du 20 mars, de la 78ème D.I. britannique, troisième et dernière composante du Corps néo-zélandais, qui va y changer quoi que ce soit…
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