Soldats néo-zélandais, dans les ruines de Cassino |
… s’il disposait d’authentiques troupes de Génie, c-à-d de soldats et
d’officiers réellement formés à cette tâche, ainsi que de quantités de
bulldozers et de moyens de levage, Freyberg serait sans doute en mesure
de dégager les routes et de remblayer les cratères qui bloquent
l’avancée des tanks Sherman, lesquels seraient alors en mesure
d’épauler à leur tour les fantassins quant à eux contraints de
progresser mètre par mètre sous la mitraille et au milieu des montagnes
de gravats.
Mais le Corps néo-zélandais ne dispose hélas ni des uns des autres : dramatiquement sous-équipés, formés à la hâte, et sur le tas, les hommes affectés à cette tâche sont incapables, en dépit de toute leur bonne volonté, d’affronter la situation qui se présente maintenant à eux, et d’autant plus qu’ils se retrouvent eux-mêmes cibles privilégiées de tous les snipers allemands retranchés dans les ruines de Cassino.
Les pertes, et les retards, s’accumulent donc sans que l’on soit en mesure d’imaginer une autre solution que de réclamer de nouveaux tirs d’artillerie et de nouveaux bombardements.
Tout au long de l’après-midi, plus de 200 chasseurs-bombardiers (1) déversent ainsi une centaine de tonnes de bombes supplémentaires sur la ville, la gare, la colline du Monastère, et le Monastère lui-même,… sans autre résultat concret que d’accroître encore un peu plus le chaos qui règne sur place !
En fin d’après-midi, il est déjà clair que Néo-zélandais et Indiens n’atteindront pas les objectifs qui leur avaient été assignés pour la journée
Et le pire est encore à venir…
(1) un raid supplémentaire de quelque 300 bombardiers lourds avait dû être décommandé à la dernière minute en raison de l’arrivée d’importants nuages de basse altitude
Mais le Corps néo-zélandais ne dispose hélas ni des uns des autres : dramatiquement sous-équipés, formés à la hâte, et sur le tas, les hommes affectés à cette tâche sont incapables, en dépit de toute leur bonne volonté, d’affronter la situation qui se présente maintenant à eux, et d’autant plus qu’ils se retrouvent eux-mêmes cibles privilégiées de tous les snipers allemands retranchés dans les ruines de Cassino.
Les pertes, et les retards, s’accumulent donc sans que l’on soit en mesure d’imaginer une autre solution que de réclamer de nouveaux tirs d’artillerie et de nouveaux bombardements.
Tout au long de l’après-midi, plus de 200 chasseurs-bombardiers (1) déversent ainsi une centaine de tonnes de bombes supplémentaires sur la ville, la gare, la colline du Monastère, et le Monastère lui-même,… sans autre résultat concret que d’accroître encore un peu plus le chaos qui règne sur place !
En fin d’après-midi, il est déjà clair que Néo-zélandais et Indiens n’atteindront pas les objectifs qui leur avaient été assignés pour la journée
Et le pire est encore à venir…
(1) un raid supplémentaire de quelque 300 bombardiers lourds avait dû être décommandé à la dernière minute en raison de l’arrivée d’importants nuages de basse altitude
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