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| Carcasse d'un tank Sherman, à Cassino |
… comme le notera amèrement un observateur, "il restait quantités de défenseurs, quantités de combats, quantités d’armes, de munitions et de points d’observation, et quantités d’obstination"
Et en ces heures ô combien cruciales pour Cassino, l’obstination est sans aucun doute la plus grande qualité des Fallschirmjäger qui, après avoir laissé passer l’orage, attendent les soldats alliés de pied ferme !
Et en ces heures ô combien cruciales pour Cassino, l’obstination est sans aucun doute la plus grande qualité des Fallschirmjäger qui, après avoir laissé passer l’orage, attendent les soldats alliés de pied ferme !
Ces parachutistes allemands sont certes moins nombreux et moins puissamment armés que leurs adversaires, mais dans l’incroyable montagne de ruines qu’est devenue Cassino, leur capacité à opérer rapidement, par petits groupes, avec canons légers, mortiers, mitrailleuses et, bien évidemment snipers, ne tarde pas à transformer la progression des Néo-zélandais en authentique Chemin de Croix.
La 2ème D.I. dispose pourtant de nombreux blindés qui, en théorie, pourraient balayer pareille opposition, mais le problème - comme l’avait fort justement prédit le colonel Mack, c’est que dans cette ville lunaire où les rues ont tout simplement disparu sous les gravats, et où certains cratères font près de 15 mètres de large (!), les tanks Sherman sont tout simplement incapables d’avancer, et deviennent dès lors autant de cibles faciles pour les défenseurs allemands !
Freyberg et son État-major, nous l’avons vu, ont certes envisagé pareille éventualité, mais en ont hélas largement sous-estimé l’ampleur, et tout autant surestimé leur propre capacité à la surmonter.
Il faut dire que pour son plus grand malheur, le Corps néo-zélandais ne constitue un Corps d’Armée que sur le papier, tant il manque cruellement de ressources spécialisées, et en particulier de troupes et de moyens de Génie dignes de ce nom…
La 2ème D.I. dispose pourtant de nombreux blindés qui, en théorie, pourraient balayer pareille opposition, mais le problème - comme l’avait fort justement prédit le colonel Mack, c’est que dans cette ville lunaire où les rues ont tout simplement disparu sous les gravats, et où certains cratères font près de 15 mètres de large (!), les tanks Sherman sont tout simplement incapables d’avancer, et deviennent dès lors autant de cibles faciles pour les défenseurs allemands !
Freyberg et son État-major, nous l’avons vu, ont certes envisagé pareille éventualité, mais en ont hélas largement sous-estimé l’ampleur, et tout autant surestimé leur propre capacité à la surmonter.
Il faut dire que pour son plus grand malheur, le Corps néo-zélandais ne constitue un Corps d’Armée que sur le papier, tant il manque cruellement de ressources spécialisées, et en particulier de troupes et de moyens de Génie dignes de ce nom…
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