Sherman britannique de la 7ème D.B. , à Salerne |
… sur les plages et dans tous les avant-postes, Clark, en tout cas - et le fait est tout de même à souligner - se dépense sans compter !
Houspillant ici, encourageant là-bas et, surtout, donnant des ordres à tout le monde, et en particulier aux hommes du VIème Corps, le commandant-en-chef de la 5ème Armée américaine est omniprésent sur le terrain, ce qui, tactiquement, est sans doute la chose à faire mais qui, psychologiquement, n’est certes pas de nature à inciter Dawley à faire preuve d’initiative !
Mais malgré le constant soutien de l’Artillerie navale, malgré l’arrivée des premiers paras sur le terrain, Clark n’en demeure pas moins fort inquiet face à la tournure des événements.
Dans la fièvre, et au cas où ses lignes de défense finiraient malgré tout par être enfoncées, il ordonne ainsi à ses subordonnés de dresser différents plans destinés soit à raccourcir le Front (en transférant par exemple les unités du Xème Corps vers le VIème ou, inversement, celles du VIème vers le Xème) soit à rembarquer purement et simplement l’intégralité du contingent, une perspective que l’État-major de l’amiral Hewitt, abasourdi, rejette néanmoins catégoriquement car l’estimant, à bon droit, impossible à réaliser.
Les heures passent mais, petit à petit, ce qu’on appellera bientôt la "Crise de Salerne" finit elle-même par… passer, les Allemands s’avérant encore plus épuisés que leur adversaires et, surtout, beaucoup moins à même de recevoir de nouveaux renforts…
Houspillant ici, encourageant là-bas et, surtout, donnant des ordres à tout le monde, et en particulier aux hommes du VIème Corps, le commandant-en-chef de la 5ème Armée américaine est omniprésent sur le terrain, ce qui, tactiquement, est sans doute la chose à faire mais qui, psychologiquement, n’est certes pas de nature à inciter Dawley à faire preuve d’initiative !
Mais malgré le constant soutien de l’Artillerie navale, malgré l’arrivée des premiers paras sur le terrain, Clark n’en demeure pas moins fort inquiet face à la tournure des événements.
Dans la fièvre, et au cas où ses lignes de défense finiraient malgré tout par être enfoncées, il ordonne ainsi à ses subordonnés de dresser différents plans destinés soit à raccourcir le Front (en transférant par exemple les unités du Xème Corps vers le VIème ou, inversement, celles du VIème vers le Xème) soit à rembarquer purement et simplement l’intégralité du contingent, une perspective que l’État-major de l’amiral Hewitt, abasourdi, rejette néanmoins catégoriquement car l’estimant, à bon droit, impossible à réaliser.
Les heures passent mais, petit à petit, ce qu’on appellera bientôt la "Crise de Salerne" finit elle-même par… passer, les Allemands s’avérant encore plus épuisés que leur adversaires et, surtout, beaucoup moins à même de recevoir de nouveaux renforts…
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