Paras de la 82ème, quittant la poche de Salerne |
… comme au rugby, les Allemands ne cessent de pousser, mais la ligne anglo-américaine tient bon, et d’autant plus qu’elle ne cesse pour sa part de recevoir des renforts, et en particulier celui des paras de la 82ème Aéroportée, qui se morfondaient depuis des jours à ne rien faire, et dont quelqu’un vient apparemment de se rappeler l’existence !
La 82ème - rappelons-nous - devait à l’origine participer directement au débarquement du VIème Corps sur les plages de Salerne, mais en avait finalement été détournée au profit d’une opération aéroportée sur Rome, à mener avec le soutien de l’armée italienne.
Mais la dite armée, et surtout ses chefs, s’étant fait porter pâle, le dit parachutage avait dû être annulé à la dernière minute, ce qui, en toute logique, aurait donc dû rendre les paras à nouveau disponibles pour Salerne…
… sauf que personne, à l’État-major, n’avait apparemment jugé utile d’en informer le commandant-en-chef de la Vème Armée, lequel, il est vrai, n’avait pas non plus fait des pieds et des mains pour récupérer au plus vite ces soldats d’élite dont la présence aurait pourtant été fort utile aux premières heures du débarquement !
La 82ème - rappelons-nous - devait à l’origine participer directement au débarquement du VIème Corps sur les plages de Salerne, mais en avait finalement été détournée au profit d’une opération aéroportée sur Rome, à mener avec le soutien de l’armée italienne.
Mais la dite armée, et surtout ses chefs, s’étant fait porter pâle, le dit parachutage avait dû être annulé à la dernière minute, ce qui, en toute logique, aurait donc dû rendre les paras à nouveau disponibles pour Salerne…
… sauf que personne, à l’État-major, n’avait apparemment jugé utile d’en informer le commandant-en-chef de la Vème Armée, lequel, il est vrai, n’avait pas non plus fait des pieds et des mains pour récupérer au plus vite ces soldats d’élite dont la présence aurait pourtant été fort utile aux premières heures du débarquement !
Mieux vaut cependant tard que trop tard, et de fait, dans la soirée, l'arrivée des 2 500 paras du colonel Gavin sauve provisoirement la mise, et sans doute la carrière du général Clark...
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