Sherman des Royal Scots Greys, en action près de Batapaglia |
… 13 septembre 1943
Passons à présent dans le camp allemand, où les renforts tant attendus ont finalement réussi à se rendre jusque Salerne,… sans pour autant atteindre l’ampleur espérée par von Vietinghof et, surtout, Sieckenius, dont la 16ème Panzer, matraquée depuis des jours par l’Artillerie navale des Alliés, à laquelle elle ne peut répliquer, est au bord de l’effondrement.
Dit autrement, non contente d’avoir dû être retardée d’au moins 48 heures, la contre-offensive prévue constitue bel et bien l’ultime chance de réussir à rejeter les Anglo-Américains à la mer : si elle échoue, fantassins et tankistes n’auront alors d’autre choix que d’abandonner la partie et, à brève échéance, de concéder toute l’Italie du Sud aux Alliés, pour se retrancher eux-mêmes sur la succession de lignes de défenses - dont la bientôt célèbre Ligne Gustave - que les troupes de Génie et les ouvriers de l’Organisation Todt sont déjà occupés à ériger au sud de Rome
Débutée en mineur le 13, la dite contre-offensive atteint sa vitesse de croisière le lendemain, mais bien qu’elle parvienne, ici et là, à enfoncer les lignes britanniques du Xème Corps, ou américaines du VIème, elle finit toujours par se retrouver contrée non seulement par la résistance de leurs bataillons d’Infanterie mais aussi, et une fois de plus, par les tirs aussi efficaces que démoralisants des cuirassés, croiseurs et destroyers qui se relayent au large et que la Luftwaffe, malgré ses Fritz-X, n’est pas en mesure de faire déguerpir.
Pire encore, l’Aviation alliée, jusque-là relativement discrète, entre à présent dans la danse, déversant plus 1 000 tonnes de bombes dans la journée du 14 septembre…
Passons à présent dans le camp allemand, où les renforts tant attendus ont finalement réussi à se rendre jusque Salerne,… sans pour autant atteindre l’ampleur espérée par von Vietinghof et, surtout, Sieckenius, dont la 16ème Panzer, matraquée depuis des jours par l’Artillerie navale des Alliés, à laquelle elle ne peut répliquer, est au bord de l’effondrement.
Dit autrement, non contente d’avoir dû être retardée d’au moins 48 heures, la contre-offensive prévue constitue bel et bien l’ultime chance de réussir à rejeter les Anglo-Américains à la mer : si elle échoue, fantassins et tankistes n’auront alors d’autre choix que d’abandonner la partie et, à brève échéance, de concéder toute l’Italie du Sud aux Alliés, pour se retrancher eux-mêmes sur la succession de lignes de défenses - dont la bientôt célèbre Ligne Gustave - que les troupes de Génie et les ouvriers de l’Organisation Todt sont déjà occupés à ériger au sud de Rome
Débutée en mineur le 13, la dite contre-offensive atteint sa vitesse de croisière le lendemain, mais bien qu’elle parvienne, ici et là, à enfoncer les lignes britanniques du Xème Corps, ou américaines du VIème, elle finit toujours par se retrouver contrée non seulement par la résistance de leurs bataillons d’Infanterie mais aussi, et une fois de plus, par les tirs aussi efficaces que démoralisants des cuirassés, croiseurs et destroyers qui se relayent au large et que la Luftwaffe, malgré ses Fritz-X, n’est pas en mesure de faire déguerpir.
Pire encore, l’Aviation alliée, jusque-là relativement discrète, entre à présent dans la danse, déversant plus 1 000 tonnes de bombes dans la journée du 14 septembre…
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