… Salerne, 09 septembre 1943, 03h00
Débuté aux premières heures du 9 septembre, le débarquement proprement dit se passe en tout cas relativement bien : au nord, les Rangers américains et les commandos britanniques du Xème Corps s’emparent même de leurs objectifs, en ce compris la ville de Salerne, sans rencontrer de véritable résistance.
Mais l’affaire ne tarde cependant pas à se gâter au centre et au sud du dispositif où, chacune de leur côté, les 46ème et 56ème D.I. britanniques, et 36ème D.I. américaines, sont confrontées à une résistance allemande plus coriace que prévu... et nullement surprise de leur arrivée !
A maintes reprises - et ce n’est que le début ! - il faut même faire appel aux grosses pièces de l’artillerie navale, et notamment à celles du croiseur Savannah - un 10 000 tonnes de la classe Brooklyn - pour se débarrasser - mais seulement provisoirement - des tirs de précision que les Allemands dirigent depuis les collines avoisinantes.
Et alors que le soir tombe, le bilan s'avère mitigé... dans les deux camps !
Débuté aux premières heures du 9 septembre, le débarquement proprement dit se passe en tout cas relativement bien : au nord, les Rangers américains et les commandos britanniques du Xème Corps s’emparent même de leurs objectifs, en ce compris la ville de Salerne, sans rencontrer de véritable résistance.
Mais l’affaire ne tarde cependant pas à se gâter au centre et au sud du dispositif où, chacune de leur côté, les 46ème et 56ème D.I. britanniques, et 36ème D.I. américaines, sont confrontées à une résistance allemande plus coriace que prévu... et nullement surprise de leur arrivée !
A maintes reprises - et ce n’est que le début ! - il faut même faire appel aux grosses pièces de l’artillerie navale, et notamment à celles du croiseur Savannah - un 10 000 tonnes de la classe Brooklyn - pour se débarrasser - mais seulement provisoirement - des tirs de précision que les Allemands dirigent depuis les collines avoisinantes.
Et alors que le soir tombe, le bilan s'avère mitigé... dans les deux camps !
Côté allié, la tête de pont semble solide, et des gains notables ont été réalisés sur le terrain, mais l'avance n'en est pas moins inférieure aux attentes et, surtout, le Xème Corps britannique et le VIème Corps américain n'ont pu faire jonction comme il était prévu, et demeurent donc largement séparés de part et d'autre de la rivière Sélé
Côté allemand, la 16ème Panzer de Sieckenius a bien tenu le coup mais, faute de pouvoir rivaliser avec l'artillerie navale alliée, n'a pas été en mesure de rejeter l'ennemi à la mer,... et ne peut espérer y arriver qu'à la condition de recevoir rapidement le soutien de la division Hermann Goering ainsi que celui des 15ème et 29ème divisions de Panzergrenadiers...
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