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| La "conquête" de Tarente : mais où sont les Allemands ? |
... Tarente, 9 septembre 1943, 15h00
Revenons à présent à Tarente-même, où la petite flottille d'invasion, après avoir croisé plusieurs bâtiments de guerre italiens en route vers Malte, se présente finalement sans être inquiétée, et sur le coup de 15h00, devant les premiers champs de mines qui barrent l'entrée du port
Envoyé en reconnaissance, un destroyer se fraye prudemment un passage, pénètre tout aussi prudemment dans la rade... et en ressort deux heures plus tard en compagnie d'un pilote italien manifestement fort désireux de faciliter la tâche à ces Britanniques que lui et ses compatriotes combattaient encore quelques heures auparavant !
Peu de temps après, les croiseurs Penelope et Boise peuvent donc accoster tranquillement et débarquer les premiers paras, lesquels ont pour tâche de sécuriser la zone et de parer une éventuelle contre-attaque non pas des Italiens - qui s'évertuent au contraire à tout faire pour plaire à leurs vainqueurs et nouveaux alliés - mais bien de leurs désormais ennemis allemands.
Mais comme les dits Allemands demeurent invisibles, les opérations se déroulent rondement, ce qui permet bientôt à la flottille toute entière de reprendre la mer en direction de Bizerte, afin d'y charger le reste des soldats et des équipements de la 1ère Division aéroportée, avant de remettre le cap en direction de Tarente.
Jusqu'ici, tout va bien et même infiniment mieux qu'espéré...
Revenons à présent à Tarente-même, où la petite flottille d'invasion, après avoir croisé plusieurs bâtiments de guerre italiens en route vers Malte, se présente finalement sans être inquiétée, et sur le coup de 15h00, devant les premiers champs de mines qui barrent l'entrée du port
Envoyé en reconnaissance, un destroyer se fraye prudemment un passage, pénètre tout aussi prudemment dans la rade... et en ressort deux heures plus tard en compagnie d'un pilote italien manifestement fort désireux de faciliter la tâche à ces Britanniques que lui et ses compatriotes combattaient encore quelques heures auparavant !
Peu de temps après, les croiseurs Penelope et Boise peuvent donc accoster tranquillement et débarquer les premiers paras, lesquels ont pour tâche de sécuriser la zone et de parer une éventuelle contre-attaque non pas des Italiens - qui s'évertuent au contraire à tout faire pour plaire à leurs vainqueurs et nouveaux alliés - mais bien de leurs désormais ennemis allemands.
Mais comme les dits Allemands demeurent invisibles, les opérations se déroulent rondement, ce qui permet bientôt à la flottille toute entière de reprendre la mer en direction de Bizerte, afin d'y charger le reste des soldats et des équipements de la 1ère Division aéroportée, avant de remettre le cap en direction de Tarente.
Jusqu'ici, tout va bien et même infiniment mieux qu'espéré...
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