Soldat allemand, posant dans un Matilda détruit en Crète |
… au soir du 20 mai, aucun des objectifs de Merkur n’a néanmoins été atteint et, à Athènes, les responsables de la Wehrmacht de la Luftwaffe, à commencer bien sûr par Richthofen, sont tous convaincus de l’échec, pour ne pas dire de la débâcle, de cette opération qui a déjà coûté la vie à des centaines de paras, mais aussi rayé plusieurs dizaines de Junkers 52 des inventaires !
Sans surprise, le seul haut gradé à y croire encore n’est autre que Student lui-même : ses hommes, argumente-t-il, piétinent certes en sol crétois, et ont certes subi des pertes bien plus élevées que prévu, mais l’affaire demeure malgré tout parfaitement jouable… à condition cependant que les Britanniques, de leur côté, ne lancent pas, dans les heures qui suivent, une vigoureuse contre-attaque.
La contre-attaque britannique, c’est précisément ce que redoutent en ce moment les Fallschirmtruppen piégés en sol crétois, souvent éparpillés en petits groupes, et de toute manière épuisés par cette journée de combats et de tensions, mais aussi par le poids de leur équipement et par ce ridicule uniforme vert-de-gris totalement inadapté au soleil et à la chaleur de la Méditerranée !
Ces hommes, certes, sont des "super-soldats" mais, n’en déplaisent à Hitler et aux tenants de la supériorité aryenne, ne sont pas pour autant des surhommes invincibles !
Pour l’heure, ils sont même plutôt convaincus du fait que les Britanniques ne tarderont pas à donner l’assaut et par les rejeter à la mer,… à moins bien sûr qu’ils ne reçoivent eux-mêmes d’importants renforts dans les heures à venir...
Sans surprise, le seul haut gradé à y croire encore n’est autre que Student lui-même : ses hommes, argumente-t-il, piétinent certes en sol crétois, et ont certes subi des pertes bien plus élevées que prévu, mais l’affaire demeure malgré tout parfaitement jouable… à condition cependant que les Britanniques, de leur côté, ne lancent pas, dans les heures qui suivent, une vigoureuse contre-attaque.
La contre-attaque britannique, c’est précisément ce que redoutent en ce moment les Fallschirmtruppen piégés en sol crétois, souvent éparpillés en petits groupes, et de toute manière épuisés par cette journée de combats et de tensions, mais aussi par le poids de leur équipement et par ce ridicule uniforme vert-de-gris totalement inadapté au soleil et à la chaleur de la Méditerranée !
Ces hommes, certes, sont des "super-soldats" mais, n’en déplaisent à Hitler et aux tenants de la supériorité aryenne, ne sont pas pour autant des surhommes invincibles !
Pour l’heure, ils sont même plutôt convaincus du fait que les Britanniques ne tarderont pas à donner l’assaut et par les rejeter à la mer,… à moins bien sûr qu’ils ne reçoivent eux-mêmes d’importants renforts dans les heures à venir...
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