Le Musashi, à l'agonie en Mer de Sibuyan |
… Mer de Sibuyan, 24 octobre, 08h00
Il ne fallait pas être grand clerc pour deviner que cet affrontement dans le Passage de Palawan, aux premières heures du 24 octobre, allait rameuter le ban et l’arrière-ban de l’Aéronavale américaine.
De fait, vers 08h00, les navires de Kurita, qui viennent de s’engager en Mer de Sibuyan sont pris à partie par plusieurs centaines de chasseurs et de bombardiers-torpilleurs américains partis des porte-avions Enterprise, Intrepid, Cabot, Lexington, Essex et Franklin.
Et les résultats ne se font pas attendre. : touché par une torpille, le croiseur Myoko doit à son tour se replier sur Bornéo, mais des bombes s’abattent également sur le croiseur Tone, les cuirassé Nagato et Haruna, et surtout les super-cuirassés Yamato et Musashi !
Si le premier-cité s’en tire sans trop de casse, la situation est beaucoup plus grave pour le second, sur lequel les Américains, flairant la bête blessée, vont à présent s’acharner.
Vague après vague, bombardiers et torpilleurs se relaient au-dessus de l’immense bâtiment de 70 000 tonnes qui s’enfonce lentement par l’avant....
Il ne fallait pas être grand clerc pour deviner que cet affrontement dans le Passage de Palawan, aux premières heures du 24 octobre, allait rameuter le ban et l’arrière-ban de l’Aéronavale américaine.
De fait, vers 08h00, les navires de Kurita, qui viennent de s’engager en Mer de Sibuyan sont pris à partie par plusieurs centaines de chasseurs et de bombardiers-torpilleurs américains partis des porte-avions Enterprise, Intrepid, Cabot, Lexington, Essex et Franklin.
Et les résultats ne se font pas attendre. : touché par une torpille, le croiseur Myoko doit à son tour se replier sur Bornéo, mais des bombes s’abattent également sur le croiseur Tone, les cuirassé Nagato et Haruna, et surtout les super-cuirassés Yamato et Musashi !
Si le premier-cité s’en tire sans trop de casse, la situation est beaucoup plus grave pour le second, sur lequel les Américains, flairant la bête blessée, vont à présent s’acharner.
Vague après vague, bombardiers et torpilleurs se relaient au-dessus de l’immense bâtiment de 70 000 tonnes qui s’enfonce lentement par l’avant....
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