"les Allemands n’ont plus les moyens de mener une offensive majeure" |
… pour que Wacht am Rhein ait la moindre chance de succès, les Allemands devront donc bénéficier, durant plusieurs jours, d’une météo suffisamment exécrable pour interdire toute intervention de l’Aviation alliée, et aussi s’emparer, intacts, de plusieurs dépôts de carburants américains.
A ces conditions déjà difficiles à remplir s’ajoute l’obligation du secret le plus absolu : depuis des semaines, les communications radio, même cryptées, sont réduites à leur plus simple expression et remplacées par de simples estafettes ne communiquant les informations indispensables que de vive voix,… ou encore par le bon vieux téléphone civil qui, depuis que les Allemands combattent sur leur propre sol, a retrouvé tout son intérêt.
Toutes ces précautions ne sauraient cependant empêcher les Alliés d’avoir vent de rumeurs, ni d’obtenir, grâce à des interrogatoires de prisonniers, de multiples informations faisant état de concentrations de troupes ou de la constitution, ici et là, d’importantes réserves de carburant et de munitions.
Mais à l’image d’Hitler devant Stalingrad, les Alliés sont à ce point persuadés que leur adversaire est "fini" qu’ils n’accordent que peu d’importance à ces renseignements pourtant capitaux : 24 heures avant le début de l’attaque, le général Montgomery en sera encore à déclarer que "les Allemands n’ont plus les moyens de mener une offensive majeure"
Deux hommes au moins ne sont pas dupes…
A ces conditions déjà difficiles à remplir s’ajoute l’obligation du secret le plus absolu : depuis des semaines, les communications radio, même cryptées, sont réduites à leur plus simple expression et remplacées par de simples estafettes ne communiquant les informations indispensables que de vive voix,… ou encore par le bon vieux téléphone civil qui, depuis que les Allemands combattent sur leur propre sol, a retrouvé tout son intérêt.
Toutes ces précautions ne sauraient cependant empêcher les Alliés d’avoir vent de rumeurs, ni d’obtenir, grâce à des interrogatoires de prisonniers, de multiples informations faisant état de concentrations de troupes ou de la constitution, ici et là, d’importantes réserves de carburant et de munitions.
Mais à l’image d’Hitler devant Stalingrad, les Alliés sont à ce point persuadés que leur adversaire est "fini" qu’ils n’accordent que peu d’importance à ces renseignements pourtant capitaux : 24 heures avant le début de l’attaque, le général Montgomery en sera encore à déclarer que "les Allemands n’ont plus les moyens de mener une offensive majeure"
Deux hommes au moins ne sont pas dupes…
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