Affiche d'enrôlement pour la Kriegsmarine : les gros cuirassés ne resteront plus à l'honneur fort longtemps |
... Kafjord, 11 février 1944
Car dans la nuit du 11 au 12 février 1944, et comme pour renouer avec les bonnes habitudes, c’est du Ciel que surgit à nouveau la menace, et cette fois - et c'est une première ! - sous la forme de bombardiers soviétiques !
Si quatre appareils seulement réussissent à repérer le Tirpitz, sans pour autant lui infliger le moindre dommage, cette attaque n'en constitue pas moins une preuve supplémentaire de la dégradation de la situation militaire,..mais aussi de la vulnérabilité du Tirpitz lui-même, aussi bien camouflé soit-il, dans son fjord du bout du monde.
Début mars, la véritable noria de barques et de péniches constamment amarrées le long de ses flancs depuis octobre 1943 commence en tout cas à disparaître,... ce que remarquent bien évidemment les avions d’observation britanniques de plus en plus nombreux au-dessus du Kafjord.
A l’État-major de la Royal Navy, cette disparition est aussitôt interprétée comme la preuve du réveil du Monstre qui, de fait, va lever l’ancre le 15 pour de brefs essais dans l’Altenfjord.
Après six mois d'hibernation forcée, Le Tirpitz représente donc à nouveau une menace pour la sécurité des convois vers la Russie, une menace dont on ne connait évidemment pas l'ampleur exacte, mais une menace qu’il importe néanmoins de neutraliser au plus vite !
Plus question cependant de renvoyer d’autres mini-submersibles à l'attaque : les Allemands ne se laisseront pas surprendre deux fois.
Il va donc falloir trouver autre chose...
Car dans la nuit du 11 au 12 février 1944, et comme pour renouer avec les bonnes habitudes, c’est du Ciel que surgit à nouveau la menace, et cette fois - et c'est une première ! - sous la forme de bombardiers soviétiques !
Si quatre appareils seulement réussissent à repérer le Tirpitz, sans pour autant lui infliger le moindre dommage, cette attaque n'en constitue pas moins une preuve supplémentaire de la dégradation de la situation militaire,..mais aussi de la vulnérabilité du Tirpitz lui-même, aussi bien camouflé soit-il, dans son fjord du bout du monde.
Début mars, la véritable noria de barques et de péniches constamment amarrées le long de ses flancs depuis octobre 1943 commence en tout cas à disparaître,... ce que remarquent bien évidemment les avions d’observation britanniques de plus en plus nombreux au-dessus du Kafjord.
A l’État-major de la Royal Navy, cette disparition est aussitôt interprétée comme la preuve du réveil du Monstre qui, de fait, va lever l’ancre le 15 pour de brefs essais dans l’Altenfjord.
Après six mois d'hibernation forcée, Le Tirpitz représente donc à nouveau une menace pour la sécurité des convois vers la Russie, une menace dont on ne connait évidemment pas l'ampleur exacte, mais une menace qu’il importe néanmoins de neutraliser au plus vite !
Plus question cependant de renvoyer d’autres mini-submersibles à l'attaque : les Allemands ne se laisseront pas surprendre deux fois.
Il va donc falloir trouver autre chose...
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