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| Le Duke of York, à la poursuite du Scharnhorst, sur le point de s'échapper |
... "Je ne vois aucun espoir de rattraper le Scharnhorst", signale Fraser par radio, "ce pourquoi je vais décrocher pour assurer la protection du convoi".
Contre toute attente, le Scharnhorst va donc échapper à une destruction qui paraissait certaine !
Mais avant que l'ordre de décrocher vers le JW55B puisse être donné, les radaristes du Duke of York font soudain une stupéfiante découverte : la distance qui sépare leur cuirassé du croiseur de bataille allemand, qui ne cessait d'augmenter depuis une heure, est au contraire occupée à diminuer !
La fortune vient subitement de changer de camp : alors qu'il était sur le point d'échapper à ses poursuivants, le Scharnhorst est en effet en train de ralentir !
Vers 18h24, à la dernière salve du Duke of York, un 356mm a en effet crevé le pont trop faiblement blindé de l'allemand - qui n'est après tout qu'un croiseur de bataille et pas un véritable cuirassé - et a éclaté dans la chaufferie numéro 1, coupant net plusieurs conduites alimentant les turbines en vapeur, et réduisant presque instantanément la vitesse du Scharnhorst de moitié !
Sur le Scharnhorst, ingénieurs et mécaniciens se précipitent pour effectuer des réparations d'urgence qui, dans quelques minutes, devraient en principe permettre de remonter en pression, donc en vitesse, mais, dans l'intervalle, le grand bâtiment est bel et bien livré à la merci de ses adversaires,... et en particulier des destroyers britanniques qui, dans l'ombre du cuirassé et des croiseurs, attendaient tranquillement leur heure...
Contre toute attente, le Scharnhorst va donc échapper à une destruction qui paraissait certaine !
Mais avant que l'ordre de décrocher vers le JW55B puisse être donné, les radaristes du Duke of York font soudain une stupéfiante découverte : la distance qui sépare leur cuirassé du croiseur de bataille allemand, qui ne cessait d'augmenter depuis une heure, est au contraire occupée à diminuer !
La fortune vient subitement de changer de camp : alors qu'il était sur le point d'échapper à ses poursuivants, le Scharnhorst est en effet en train de ralentir !
Vers 18h24, à la dernière salve du Duke of York, un 356mm a en effet crevé le pont trop faiblement blindé de l'allemand - qui n'est après tout qu'un croiseur de bataille et pas un véritable cuirassé - et a éclaté dans la chaufferie numéro 1, coupant net plusieurs conduites alimentant les turbines en vapeur, et réduisant presque instantanément la vitesse du Scharnhorst de moitié !
Sur le Scharnhorst, ingénieurs et mécaniciens se précipitent pour effectuer des réparations d'urgence qui, dans quelques minutes, devraient en principe permettre de remonter en pression, donc en vitesse, mais, dans l'intervalle, le grand bâtiment est bel et bien livré à la merci de ses adversaires,... et en particulier des destroyers britanniques qui, dans l'ombre du cuirassé et des croiseurs, attendaient tranquillement leur heure...
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