… pour le meilleur ou pour le pire, les troupes américaines vont donc débarquer aux Philippines sous la conduite directe du Grand Homme, qui a jeté son dévolu sur l’île de Leyte, laquelle offre le double avantage de posséder des passes en eau profonde, ainsi que des plages bien adaptées à un débarquement.
Sachant que Leyte est une île montagneuse qui fait tout de même 180 km de long sur 65 de large, et que les défenseurs - a fortiori nippons ! - possèdent toujours un considérable avantage sur les assaillants, il faudra néanmoins commencer par réunir quelque 200 000 hommes… soit 10 fois les effectifs que le Japon est supposé entretenir, ou être capable d’acheminer, à cet endroit !
Mais pour débarquer un pareil contingent sur place, il va aussi falloir réunir plus de 500 navires de divers tonnage, lesquels seront appuyés et protégés par près de 200 bâtiments de guerre appartenant à la 7ème Flotte de l’amiral Kinkaid.
Sur le papier, celle que l'on surnomme, non sans raison, la "Flotte de MacArthur", dispose de moyens conséquents, à savoir 18 porte-avions d’escorte, six cuirassés rescapés de Pearl Harbor, 4 croiseurs lourds, 4 croiseurs légers, une cinquantaine de destroyers… et quelques dizaines de vedettes lance-torpilles qui certes ne payent pas de mine mais n’en vont pas moins jouer un grand rôle dans l'histoire qui va suivre.
Pour autant, la dite flotte n'est nullement dimensionnée pour affronter la Marine impériale japonaise dans un quelconque combat : confiés à l’amiral Oldendorf, ses vieux cuirassés, bien que modernisés au niveau de la DCA, des radars et de la conduite de tir, sont en effet bien trop lents pour les opérations dans le Pacifique, ce pourquoi on les a sagement cantonnés à l’appui des troupes au sol, ce qui explique d'ailleurs pourquoi ils embarquent un maximum d'obus explosifs et très peu d'obus perforants anti-navires…
Sachant que Leyte est une île montagneuse qui fait tout de même 180 km de long sur 65 de large, et que les défenseurs - a fortiori nippons ! - possèdent toujours un considérable avantage sur les assaillants, il faudra néanmoins commencer par réunir quelque 200 000 hommes… soit 10 fois les effectifs que le Japon est supposé entretenir, ou être capable d’acheminer, à cet endroit !
Mais pour débarquer un pareil contingent sur place, il va aussi falloir réunir plus de 500 navires de divers tonnage, lesquels seront appuyés et protégés par près de 200 bâtiments de guerre appartenant à la 7ème Flotte de l’amiral Kinkaid.
Sur le papier, celle que l'on surnomme, non sans raison, la "Flotte de MacArthur", dispose de moyens conséquents, à savoir 18 porte-avions d’escorte, six cuirassés rescapés de Pearl Harbor, 4 croiseurs lourds, 4 croiseurs légers, une cinquantaine de destroyers… et quelques dizaines de vedettes lance-torpilles qui certes ne payent pas de mine mais n’en vont pas moins jouer un grand rôle dans l'histoire qui va suivre.
Pour autant, la dite flotte n'est nullement dimensionnée pour affronter la Marine impériale japonaise dans un quelconque combat : confiés à l’amiral Oldendorf, ses vieux cuirassés, bien que modernisés au niveau de la DCA, des radars et de la conduite de tir, sont en effet bien trop lents pour les opérations dans le Pacifique, ce pourquoi on les a sagement cantonnés à l’appui des troupes au sol, ce qui explique d'ailleurs pourquoi ils embarquent un maximum d'obus explosifs et très peu d'obus perforants anti-navires…
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