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| La Bataille de la Mer de Bismarck, ou l'impossibilité de ravitailler les garnisons isolées |
… au bilan, cette Bataille de la Mer de Bismarck est donc une véritable catastrophe pour le Japon !
En lançant cette opération ô combien risquée, le haut commandement nippon s’attendait certes à subir jusqu’à 50% de pertes,... mais il ne s’attendait tout de même pas à perdre huit cargos sur huit, quatre destroyers sur huit, une vingtaine de chasseurs, plus de 3 000 soldats, marins et aviateurs, mais aussi, et surtout, l’intégralité des canons, des munitions, de l’essence, des véhicules, du matériel et du ravitaillement destinés à la Nouvelle-Guinée !
De fait, sur les quelques 7 000 soldats envoyés en renfort, seuls 800, rescapés de l’attaque du 2 mars, ont finalement réussi à rallier Lae… sans la moindre arme ou le moindre équipement qui leur permettrait à présent d’affronter l’inévitable offensive alliée.
Par comparaison, les pertes des dits alliés peuvent être qualifiées d’insignifiantes, puisque limitées à six avions et une douzaine d’aviateurs seulement !
Mais le plus grave, c’est l’impossibilité de venir désormais en aide aux garnisons isolées et menacées sans s’exposer à subir des pertes insupportables !
Dans l’immédiat, le désastre de la Mer Bismarck condamne en tout cas les forces japonaises de Nouvelle-Guinée à se battre à présent sans le moindre espoir de victoire, et quasiment jusqu’au dernier homme…
En lançant cette opération ô combien risquée, le haut commandement nippon s’attendait certes à subir jusqu’à 50% de pertes,... mais il ne s’attendait tout de même pas à perdre huit cargos sur huit, quatre destroyers sur huit, une vingtaine de chasseurs, plus de 3 000 soldats, marins et aviateurs, mais aussi, et surtout, l’intégralité des canons, des munitions, de l’essence, des véhicules, du matériel et du ravitaillement destinés à la Nouvelle-Guinée !
De fait, sur les quelques 7 000 soldats envoyés en renfort, seuls 800, rescapés de l’attaque du 2 mars, ont finalement réussi à rallier Lae… sans la moindre arme ou le moindre équipement qui leur permettrait à présent d’affronter l’inévitable offensive alliée.
Par comparaison, les pertes des dits alliés peuvent être qualifiées d’insignifiantes, puisque limitées à six avions et une douzaine d’aviateurs seulement !
Mais le plus grave, c’est l’impossibilité de venir désormais en aide aux garnisons isolées et menacées sans s’exposer à subir des pertes insupportables !
Dans l’immédiat, le désastre de la Mer Bismarck condamne en tout cas les forces japonaises de Nouvelle-Guinée à se battre à présent sans le moindre espoir de victoire, et quasiment jusqu’au dernier homme…
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