Soldats allemands à Kowno, à l'été 1941. Notez le grand nombre de chevaux |
… Wolfsschanze, 7 août 1941
Hitler, pourtant, ne se porte pas bien du tout : autant victime de sa déplorable hygiène de vie que du stress de la guerre et des conditions sanitaires ô combien défavorables de la Wolfsschanze, il est même sur le point de s’effondrer !
Hitler, pourtant, ne se porte pas bien du tout : autant victime de sa déplorable hygiène de vie que du stress de la guerre et des conditions sanitaires ô combien défavorables de la Wolfsschanze, il est même sur le point de s’effondrer !
"Au cours de la première semaine d'août, Hitler se plaignit de ne pas se sentir bien. Le 7 août, l’une de ses secrétaires remarqua à quel point il semblait malade. Après le petit déjeuner, elle l'observa en train de peiner pour se rendre du Kasino I au Führerbunker.
Ce même matin, Hitler visita la salle des cartes et se sentit soudain faible puis commença à vomir. Depuis des jours, son état n’avait fait que s'aggraver et il souffrait maintenant de diarrhée, de graves douleurs à l'estomac, de nausées et d’une forte fièvre.
Son médecin personnel, le Dr Morell, lui expliqua qu'il avait contracté une dysenterie bacillaire due aux marécages environnants. Morell nota dans son journal que la vie dans le bunker avait causé un déclin rapide de sa santé.
Le jour suivant, il fut confiné au lit (…) Même s’il ne se sentait pas bien, il était déterminé à ne pas demeurer cloîtré dans son triste dortoir. Après avoir reçu son injection du matin, il se traîna de son bunker jusqu’au Keitelbunker [le bunker de Keitel] et assista à la réunion de guerre, qui se tenait désormais chaque matin et chaque soir.
(…) Malgré la fermeté qu’il affichait lors de ces conférences militaires, sa santé déclinante devenait de plus en plus évidente. Il commença même à se plaindre qu'il trouvait ces réunions difficiles et qu’il était de moins en moins capable de s’opposer à ses généraux (1)
(1) Baxter, op. cit.
Ce même matin, Hitler visita la salle des cartes et se sentit soudain faible puis commença à vomir. Depuis des jours, son état n’avait fait que s'aggraver et il souffrait maintenant de diarrhée, de graves douleurs à l'estomac, de nausées et d’une forte fièvre.
Son médecin personnel, le Dr Morell, lui expliqua qu'il avait contracté une dysenterie bacillaire due aux marécages environnants. Morell nota dans son journal que la vie dans le bunker avait causé un déclin rapide de sa santé.
Le jour suivant, il fut confiné au lit (…) Même s’il ne se sentait pas bien, il était déterminé à ne pas demeurer cloîtré dans son triste dortoir. Après avoir reçu son injection du matin, il se traîna de son bunker jusqu’au Keitelbunker [le bunker de Keitel] et assista à la réunion de guerre, qui se tenait désormais chaque matin et chaque soir.
(…) Malgré la fermeté qu’il affichait lors de ces conférences militaires, sa santé déclinante devenait de plus en plus évidente. Il commença même à se plaindre qu'il trouvait ces réunions difficiles et qu’il était de moins en moins capable de s’opposer à ses généraux (1)
(1) Baxter, op. cit.
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