Carcasses de véhicules allemands, sur la N7, près de Montélimar |
… Montélimar, 28 aout 1944, 14h00
Chaude affaire : débutés le 23 aout, les combats entre les Allemands qui cherchent à tout prix à sortir de la nasse, et les Américains - aidés des résistants français - qui font l’impossible pour les en empêcher, vont faire rage pendant près d’une semaine, en particulier autour du village de La Coucourde
La 11ème Panzer - nous l’avons dit - est en sous-effectifs, mais ses hommes ont une longue habitude des combats et disposent, avec leurs Panther de 45 tonnes, d’un incontestable avantage sur les Américains et leurs Sherman et autres M10.
Constituée dans l’urgence, et de bric et de broc, la Task Force Butler compte du reste moins de 5 000 hommes, qui ne sauraient résister longtemps face aux attaques décidées d’un ennemi qui n’a plus rien à perdre.
Et comme les renforts alliés tardent à venir, les hommes de la 11ème Panzer demeurent donc constamment en mesure de garantir un passage - fut-il réduit et semé d'embuches - à leurs compatriotes en retraite.
Le 25, les Allemands mènent même une offensive, que les Américains, à court de munitions, parviennent à grand-peine à repousser, et ce n’est finalement que dans l’après-midi du 28, avec l’arrivée triomphale de la 3ème D.I. dans les rues de Montélimar, que le sort des armes tourne définitivement en faveur des Américains et de leurs alliés français...
Chaude affaire : débutés le 23 aout, les combats entre les Allemands qui cherchent à tout prix à sortir de la nasse, et les Américains - aidés des résistants français - qui font l’impossible pour les en empêcher, vont faire rage pendant près d’une semaine, en particulier autour du village de La Coucourde
La 11ème Panzer - nous l’avons dit - est en sous-effectifs, mais ses hommes ont une longue habitude des combats et disposent, avec leurs Panther de 45 tonnes, d’un incontestable avantage sur les Américains et leurs Sherman et autres M10.
Constituée dans l’urgence, et de bric et de broc, la Task Force Butler compte du reste moins de 5 000 hommes, qui ne sauraient résister longtemps face aux attaques décidées d’un ennemi qui n’a plus rien à perdre.
Et comme les renforts alliés tardent à venir, les hommes de la 11ème Panzer demeurent donc constamment en mesure de garantir un passage - fut-il réduit et semé d'embuches - à leurs compatriotes en retraite.
Le 25, les Allemands mènent même une offensive, que les Américains, à court de munitions, parviennent à grand-peine à repousser, et ce n’est finalement que dans l’après-midi du 28, avec l’arrivée triomphale de la 3ème D.I. dans les rues de Montélimar, que le sort des armes tourne définitivement en faveur des Américains et de leurs alliés français...
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