Schéma d'une des tourelles de Saint-Mandrier : une cible difficile à réduire |
… Toulon, 16 aout 1944
De nouveaux bombardements, opérés le 16 aout sur les différents forts qui défendent la ville et le port, n’apportent aucun résultat notable,... si ce n’est la perte d’une demi-douzaine d’appareils touchés par la Flak.
Et comme la présence de ces irréductibles canons interdit toute attaque amphibie, il va bien falloir se résoudre à les prendre à revers, et par l’intérieur des terres.
De Lattre décide donc d'encercler puis d'investir Toulon, une mission qui débute le 19 aout, et qui se voit confiée pour l'essentiel aux bons soins des 3ème Division d'Infanterie Algérienne (DIA) et 1ère Division Française Libre (DFL).
Toulon n'est certes pas Stalingrad, mais l'affaire n'est pas facile pour autant puisque les Allemands, en plus de leurs grosses pièces d'artillerie impossibles à réduire au silence, disposent de nombreux points d'appui et de fortifications sur toutes les collines alentour, et notamment au Mont Coudon et au Mont Faron.
De fait, il faut une bonne semaine aux hommes de de Lattre, qui ont entretemps reçu le renfort de la 9ème Division d'Infanterie Coloniale (DIC) pour s'emparer de la ville, puis de la base navale, qui capitule aux dernières heures du 27 aout...
De nouveaux bombardements, opérés le 16 aout sur les différents forts qui défendent la ville et le port, n’apportent aucun résultat notable,... si ce n’est la perte d’une demi-douzaine d’appareils touchés par la Flak.
Et comme la présence de ces irréductibles canons interdit toute attaque amphibie, il va bien falloir se résoudre à les prendre à revers, et par l’intérieur des terres.
De Lattre décide donc d'encercler puis d'investir Toulon, une mission qui débute le 19 aout, et qui se voit confiée pour l'essentiel aux bons soins des 3ème Division d'Infanterie Algérienne (DIA) et 1ère Division Française Libre (DFL).
Toulon n'est certes pas Stalingrad, mais l'affaire n'est pas facile pour autant puisque les Allemands, en plus de leurs grosses pièces d'artillerie impossibles à réduire au silence, disposent de nombreux points d'appui et de fortifications sur toutes les collines alentour, et notamment au Mont Coudon et au Mont Faron.
De fait, il faut une bonne semaine aux hommes de de Lattre, qui ont entretemps reçu le renfort de la 9ème Division d'Infanterie Coloniale (DIC) pour s'emparer de la ville, puis de la base navale, qui capitule aux dernières heures du 27 aout...
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