Dans le Var, tourelle d'un Panzer II déclassé, montée sur une casemate bétonnée |
... pour ne rien arranger, sur les onze divisions, par ailleurs de deuxième ou de troisième ordre, que compte officiellement la 19ème Armée, seule une d'entre elle, la 11ème Panzer, est une division blindée.
Et encore celle-ci vient-elle tout juste de perdre un de ses deux bataillons de tanks, expédié en Normandie au début du mois d'aout !
Avant-même que ne s'engage la bataille, la situation est donc dores et déjà dramatique pour les Allemands, dont les troupes terrestres ne pourront de surcroît, et contrairement à celles des Alliés, compter sur aucun soutien de la Luftwaffe ou de la Kriegsmarine !
Dans le Midi, en cet été de 1944, la Luftflotte II, laminée par quatre années de guerre, n'aligne en effet plus que 200 appareils... contre 3 000 aux Alliés, qui bénéficieront en conséquence d'une totale maîtrise du Ciel et ne manqueront pas d'abattre comme autant de canards tous les avions allemands qui se risqueraient à prendre l'air pour attaquer les plages du débarquement.
Et la situation est encore pire - si c'était encore possible ! - du côté de la Kriegsmarine qui, dans toute la Méditerranée, ne dispose plus pour sa part que d'une cinquantaine de petits patrouilleurs de faible tonnage, bien incapables de causer le moindre tort à quelque navire allié que ce soit…
Et encore celle-ci vient-elle tout juste de perdre un de ses deux bataillons de tanks, expédié en Normandie au début du mois d'aout !
Avant-même que ne s'engage la bataille, la situation est donc dores et déjà dramatique pour les Allemands, dont les troupes terrestres ne pourront de surcroît, et contrairement à celles des Alliés, compter sur aucun soutien de la Luftwaffe ou de la Kriegsmarine !
Dans le Midi, en cet été de 1944, la Luftflotte II, laminée par quatre années de guerre, n'aligne en effet plus que 200 appareils... contre 3 000 aux Alliés, qui bénéficieront en conséquence d'une totale maîtrise du Ciel et ne manqueront pas d'abattre comme autant de canards tous les avions allemands qui se risqueraient à prendre l'air pour attaquer les plages du débarquement.
Et la situation est encore pire - si c'était encore possible ! - du côté de la Kriegsmarine qui, dans toute la Méditerranée, ne dispose plus pour sa part que d'une cinquantaine de petits patrouilleurs de faible tonnage, bien incapables de causer le moindre tort à quelque navire allié que ce soit…
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