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Civils italiens et soldats polonais, posant après la libération de Bologne |
… Bologne, 21 avril 1945
Le lendemain, à quelque 1 100 kms plus au sud, les avant-gardes britanniques et américaines pénètrent enfin dans les faubourgs de Bologne, qui leur avait échappé lors de leur offensive de l’été précédent.
Deux jours plus tard, après la chute de Bondeno, le Front allié s’étend désormais sur une ligne qui, d’ouest en est, et sur toute la longueur du Pô, court de San Benedetto à Crémone,
Le lendemain, à quelque 1 100 kms plus au sud, les avant-gardes britanniques et américaines pénètrent enfin dans les faubourgs de Bologne, qui leur avait échappé lors de leur offensive de l’été précédent.
Deux jours plus tard, après la chute de Bondeno, le Front allié s’étend désormais sur une ligne qui, d’ouest en est, et sur toute la longueur du Pô, court de San Benedetto à Crémone,
Le lendemain, Parme et Reggio Emilia sont quant à elles libérées par les partisans italiens.
Partout, les défenses allemandes s’effondrent, et particulièrement à Berlin, investie par l’Armée rouge et pilonnée jour et nuit par son artillerie.
Vingt-quatre heures plus tard, Américains et Soviétiques se rencontrent sur les rives de l’Elbe, et plus précisément à Torgau, échangeant force saluts et poignées de mains néanmoins lourdes d’arrière-pensées pour la suite...
Le Reich millénaire vit ses derniers jours, en ce compris en Italie-même, où les soldats de la Wehrmacht, même s’ils continuent à combattre ici et là, ne cherchent à présent plus qu’à rentrer chez eux,... sans se soucier pour un Reichsmark de leurs alliés italiens de la RSI, à qui les partisans ont pourtant promis la corde.
Et le plus connu, mais peut-être le plus invisible de ceux-là, va d'ailleurs bientôt connaître un sort tragique…
Partout, les défenses allemandes s’effondrent, et particulièrement à Berlin, investie par l’Armée rouge et pilonnée jour et nuit par son artillerie.
Vingt-quatre heures plus tard, Américains et Soviétiques se rencontrent sur les rives de l’Elbe, et plus précisément à Torgau, échangeant force saluts et poignées de mains néanmoins lourdes d’arrière-pensées pour la suite...
Le Reich millénaire vit ses derniers jours, en ce compris en Italie-même, où les soldats de la Wehrmacht, même s’ils continuent à combattre ici et là, ne cherchent à présent plus qu’à rentrer chez eux,... sans se soucier pour un Reichsmark de leurs alliés italiens de la RSI, à qui les partisans ont pourtant promis la corde.
Et le plus connu, mais peut-être le plus invisible de ceux-là, va d'ailleurs bientôt connaître un sort tragique…
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