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| Épave d'un chasseur de chars Elefant, abandonné près d"Anzio |
… Anzio, 7 février 1944
"Il [Lucas] avait manqué l’autobus (si tant est qu’il y ait jamais eu un autobus à attraper) le 22 janvier : le 29, il était déjà bien trop tard pour le genre d’opération qu’il avait lancé, et c’était bel et bien lui qui avait mis Penney dans une position impossible juste au moment où les Allemands se préparaient à contre-attaquer.
Il envisageait encore une action offensive le 6 février, alors que Clark lui-même venait de l’avertir de passer sur la défensive sur base des information obtenues par Ultra selon laquelle la 14ème Armée allemande attaquerait le 7, ce qu’elle fit"
Car naturellement, l’attaque du 4 février ne constituait que l'entrée en matière d’une offensive d’autant plus vaste qu’elle met à présent en œuvre, côté allemand, pas moins de 100 000 hommes opposés à quelque 75 000 Britanniques et Américains !
Précédée, durant près de 48 heures d’intenses barrages, mais aussi de contre-barrages d’artillerie, la véritable attaque débute donc le 7 et se traduit par la quasi-annihilation de la 1ère D.I. britannique, qui y perd la moitié de ses effectifs (!) avant de se voir remplacée par la 45ème D.I. américaine.
Succès allemand donc, mais néanmoins relatif car inexploitable : les Panzergrenadiers, épuisés, n’ayant à présent d’autre choix que de s’arrêter à leur tour afin de reprendre des forces et d’attendre l’arrivée de renforts…
(1) Shelfold, op cit
Il envisageait encore une action offensive le 6 février, alors que Clark lui-même venait de l’avertir de passer sur la défensive sur base des information obtenues par Ultra selon laquelle la 14ème Armée allemande attaquerait le 7, ce qu’elle fit"
Car naturellement, l’attaque du 4 février ne constituait que l'entrée en matière d’une offensive d’autant plus vaste qu’elle met à présent en œuvre, côté allemand, pas moins de 100 000 hommes opposés à quelque 75 000 Britanniques et Américains !
Précédée, durant près de 48 heures d’intenses barrages, mais aussi de contre-barrages d’artillerie, la véritable attaque débute donc le 7 et se traduit par la quasi-annihilation de la 1ère D.I. britannique, qui y perd la moitié de ses effectifs (!) avant de se voir remplacée par la 45ème D.I. américaine.
Succès allemand donc, mais néanmoins relatif car inexploitable : les Panzergrenadiers, épuisés, n’ayant à présent d’autre choix que de s’arrêter à leur tour afin de reprendre des forces et d’attendre l’arrivée de renforts…
(1) Shelfold, op cit
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