Rome-Berlin via Tunis... peut-être un jour... |
… 7 mai 1943
Rentré en Allemagne, Rommel s'efforce pour sa part de convaincre Hitler d'ordonner l'abandon de la Tunisie, ce qui permettrait au moins de rapatrier de l'autre côté de la Méditerranée ce qui reste de l'Afrika Korps
Mais le Führer, fidèle à ses habitudes, ne veut pas entendre parler de retraite, il ne veut pas d'un nouveau Dunkerque, allemand cette fois, et préfère donc condamner ses soldats, et ceux de Mussolini, à une défaite désormais inéluctable.
Le 7 mai, les Britanniques entrent à Tunis pendant que les Américains s'emparent de Bizerte. Encore une semaine, et l'Afrika Korps est contrainte à la reddition.
Plus de 200 000 hommes sont faits prisonniers et vont cruellement manquer à la défense qu'Allemands et Italiens s’efforcent à présent de mettre en place dans le sud de l'Europe.
En moins de trois ans, l’Empire italien que Benito Mussolini rêvait d'étendre d'un bord à l'autre de la Méditerranée, a purement et simplement cessé d'exister.
Pour les Alliés, c’est incontestablement une victoire, mais dont la lenteur, et le coût humain, ont rendu les Américains plus que dubitatifs à l’égard de ce curieux chemin de traverse "Rome-Berlin via Tunis" tant vanté par leurs étranges cousins d’Outre-Atlantique…
Rentré en Allemagne, Rommel s'efforce pour sa part de convaincre Hitler d'ordonner l'abandon de la Tunisie, ce qui permettrait au moins de rapatrier de l'autre côté de la Méditerranée ce qui reste de l'Afrika Korps
Mais le Führer, fidèle à ses habitudes, ne veut pas entendre parler de retraite, il ne veut pas d'un nouveau Dunkerque, allemand cette fois, et préfère donc condamner ses soldats, et ceux de Mussolini, à une défaite désormais inéluctable.
Le 7 mai, les Britanniques entrent à Tunis pendant que les Américains s'emparent de Bizerte. Encore une semaine, et l'Afrika Korps est contrainte à la reddition.
Plus de 200 000 hommes sont faits prisonniers et vont cruellement manquer à la défense qu'Allemands et Italiens s’efforcent à présent de mettre en place dans le sud de l'Europe.
En moins de trois ans, l’Empire italien que Benito Mussolini rêvait d'étendre d'un bord à l'autre de la Méditerranée, a purement et simplement cessé d'exister.
Pour les Alliés, c’est incontestablement une victoire, mais dont la lenteur, et le coût humain, ont rendu les Américains plus que dubitatifs à l’égard de ce curieux chemin de traverse "Rome-Berlin via Tunis" tant vanté par leurs étranges cousins d’Outre-Atlantique…
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