… sa vie est un roman
Né le 30 novembre 1874, Winston Leonard Spencer-Churchill est issu d’une très ancienne et très aristocratique famille britannique - ce qui lui garantit une excellente éducation - mais d’une branche cadette - ce qui, sans néanmoins le condamner à l’indigence, va le confronter pendant des décennies à d’importants problèmes financiers.
Sans affection de père et de mère, et à vrai dire quasiment abandonné par ses parents durant son enfance, il sort de Harrow à 18 ans.
Né le 30 novembre 1874, Winston Leonard Spencer-Churchill est issu d’une très ancienne et très aristocratique famille britannique - ce qui lui garantit une excellente éducation - mais d’une branche cadette - ce qui, sans néanmoins le condamner à l’indigence, va le confronter pendant des décennies à d’importants problèmes financiers.
Sans affection de père et de mère, et à vrai dire quasiment abandonné par ses parents durant son enfance, il sort de Harrow à 18 ans.
L’Église ne le tentant pas, et le Commerce étant exclu par principe, il s’oriente vers une carrière militaire mais doit néanmoins s’y prendre à trois reprises avant d’être finalement admis au Royal Military College de Sandhurst, dont il sort en 1895 avec le grade de sous-lieutenant.
La solde de Sa Majesté s’avérant par trop insuffisante pour le mode de vie de gentleman qu’il estime seul digne de lui, il a alors l’idée de la compléter par des reportages de guerre qu’il va bientôt vendre aux plus grands journaux britanniques, avant de consacrer de plus en plus de temps à l’écriture.
Heureusement pour lui, Churchill est doté d’une bonne plume et, dans cet Empire britannique sur lequel le soleil ne se couche jamais, ce ne sont ni les guerres ni les révoltes indigènes qui manquent !
Après un premier séjour à Cuba, où son journal l’envoie couvrir les événements d'une Guerre d’Indépendance dont il se sort indemne et sans la moindre égratignure, il se voit muté aux Indes.
Ayant raté de peu la Guerre greco-turque de 1897, il demande à se voir affecté en Afghanistan, où les troupes de Sa Majesté ont fort à faire avec les tribus pachtounes
Lors d’une embuscade, tout le monde ou presque meurt ou se retrouve blessé autour de lui,... sauf, une fois de plus, Churchill lui-même, qui, trois ans plus tard, publie sur sa période afghane un premier livre appelé à un grand succès…
La solde de Sa Majesté s’avérant par trop insuffisante pour le mode de vie de gentleman qu’il estime seul digne de lui, il a alors l’idée de la compléter par des reportages de guerre qu’il va bientôt vendre aux plus grands journaux britanniques, avant de consacrer de plus en plus de temps à l’écriture.
Heureusement pour lui, Churchill est doté d’une bonne plume et, dans cet Empire britannique sur lequel le soleil ne se couche jamais, ce ne sont ni les guerres ni les révoltes indigènes qui manquent !
Après un premier séjour à Cuba, où son journal l’envoie couvrir les événements d'une Guerre d’Indépendance dont il se sort indemne et sans la moindre égratignure, il se voit muté aux Indes.
Ayant raté de peu la Guerre greco-turque de 1897, il demande à se voir affecté en Afghanistan, où les troupes de Sa Majesté ont fort à faire avec les tribus pachtounes
Lors d’une embuscade, tout le monde ou presque meurt ou se retrouve blessé autour de lui,... sauf, une fois de plus, Churchill lui-même, qui, trois ans plus tard, publie sur sa période afghane un premier livre appelé à un grand succès…
1 commentaire:
Merci pour l’info, on va aller faire un tour dessus !
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