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| Le Glengyle : un des premiers navires conçus pour les débarquements |
... la réussite de cette première évacuation en appelle évidemment d'autres.
Le problème, c'est que ces opérations ne peuvent s'effectuer que de nuit, que les troupes continuent de refluer vers Sfakia, qu'elles sont de plus en plus pressées sur leurs arrières par les soldats de montagne allemands,... et que Sfakia se prête elle-même fort mal à ce genre d'exercice.
Contrairement à Héraklion, Sfakia n'est en effet qu'un fort modeste village de pécheurs, dépourvu de toute infrastructure portuaire le moindrement digne de ce nom, ce qui complique et ralentit terriblement l'embarquement.
Aussi, la nuit suivante, décide-t-on de recourir aux grands moyens, en envoyant cette fois les croiseurs Perth, Phoebe, Calcutta et Coventry, les destroyers Jervis, Janus et Hasty, mais aussi, et surtout, un des premiers véritables navires amphibies porte-péniches de débarquement, le Glengyle.
Grâce à son aide, et à celles de ses Landing Craft, ce sont cette fois plus de 6 000 hommes qui se voient exfiltrés de Crète dans la nuit du 29 au 30 mai.
Mais il en reste encore plus de 10 000 sur place...
Le problème, c'est que ces opérations ne peuvent s'effectuer que de nuit, que les troupes continuent de refluer vers Sfakia, qu'elles sont de plus en plus pressées sur leurs arrières par les soldats de montagne allemands,... et que Sfakia se prête elle-même fort mal à ce genre d'exercice.
Contrairement à Héraklion, Sfakia n'est en effet qu'un fort modeste village de pécheurs, dépourvu de toute infrastructure portuaire le moindrement digne de ce nom, ce qui complique et ralentit terriblement l'embarquement.
Aussi, la nuit suivante, décide-t-on de recourir aux grands moyens, en envoyant cette fois les croiseurs Perth, Phoebe, Calcutta et Coventry, les destroyers Jervis, Janus et Hasty, mais aussi, et surtout, un des premiers véritables navires amphibies porte-péniches de débarquement, le Glengyle.
Grâce à son aide, et à celles de ses Landing Craft, ce sont cette fois plus de 6 000 hommes qui se voient exfiltrés de Crète dans la nuit du 29 au 30 mai.
Mais il en reste encore plus de 10 000 sur place...
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