Student, passant ses paras en revue |
... même s’il ne se passionne plus depuis longtemps que pour sa future offensive contre l’URSS, Hitler sait pertinemment qu’il ne pourra lancer celle-ci qu’après avoir conquis, ou du moins neutralisé la Crète.
Et il sait aussi que cette conquête ne peut en aucune manière se réaliser par le biais d’un débarquement naval, ce qui, de facto, fait du plan que lui propose Student le seul plan possible et réalisable à brève échéance.
Pour autant, le Führer est loin de partager l’enthousiasme du General der Fallschirmtruppen à l’idée d’envoyer des milliers de parachutistes s’emparer seuls d’une île défendue par des troupes grecques et britanniques au moins deux fois plus nombreuses, retranchées sur des positions défensives, et disposant quant à elles d’armements lourds !
Hitler appréhende - avec raison - de lourdes pertes parmi ses paras et se demande - toujours avec raison, comme l’Histoire le démontrera bientôt - si les dits paras ne gagneraient pas à être plutôt tenus en réserve pour une éventuelle attaque sur Malte, que l’on ne pourra en définitive jamais mener (1)... faute de paras disponibles !
Le Führer, donc tergiverse, et ce n’est que quatre jours plus tard, seulement du bout des lèvres, et contraint et forcé par les circonstances, qu’il donne finalement son aval à toute cette opération dont il appréhende le résultat.
A juste titre...
(1) Saviez-vous que... voir Malte et puis mourir
Et il sait aussi que cette conquête ne peut en aucune manière se réaliser par le biais d’un débarquement naval, ce qui, de facto, fait du plan que lui propose Student le seul plan possible et réalisable à brève échéance.
Pour autant, le Führer est loin de partager l’enthousiasme du General der Fallschirmtruppen à l’idée d’envoyer des milliers de parachutistes s’emparer seuls d’une île défendue par des troupes grecques et britanniques au moins deux fois plus nombreuses, retranchées sur des positions défensives, et disposant quant à elles d’armements lourds !
Hitler appréhende - avec raison - de lourdes pertes parmi ses paras et se demande - toujours avec raison, comme l’Histoire le démontrera bientôt - si les dits paras ne gagneraient pas à être plutôt tenus en réserve pour une éventuelle attaque sur Malte, que l’on ne pourra en définitive jamais mener (1)... faute de paras disponibles !
Le Führer, donc tergiverse, et ce n’est que quatre jours plus tard, seulement du bout des lèvres, et contraint et forcé par les circonstances, qu’il donne finalement son aval à toute cette opération dont il appréhende le résultat.
A juste titre...
(1) Saviez-vous que... voir Malte et puis mourir
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