soldats allemands à Honsfeld, à côté de cadavres d'Américains |
... Stavelot, 17 decembre, 18h00
Inconscient des exactions commises derrière lui par ses hommes, mais s'en souciant de toute manière comme d'une guigne, Peiper poursuit sa route vers Ligneuville, qu'il rallie en début d'après-midi,... après avoir été brièvement retardé par un Sherman déchenillé mais néanmoins désireux de combattre jusqu'au bout (1), preuve supplémentaire, et fort ennuyeuse, du fait que les Américains - contrairement à ce qui était attendu - sont parfaitement en mesure d'opposer une résistance aussi acharnée que sans espoir.
À Ligneuville, et histoire d'entretenir la routine, une dizaine de prisonniers américains sont à nouveau exécutés... toujours en l'absence de Peiper (qui a aussitôt continué sur Stavelot) et sans que ce dernier en ait expressément donné l'ordre.
En fin de journée, Peiper et son Kampfgruppe arrivent enfin sur les hauteurs de la ville.
Les Américains n'ont pour ainsi dire rien à lui opposer mais Peiper l'ignore et, de de toute manière, ses chars lourds sont à présent loin derrière et lui-même fort à court de carburant, ce pourquoi décide-t-il de passer la nuit sur place et de n'attaquer que le lendemain matin, décision a priori judicieuse mais qui va une fois de plus lui coûter de précieuses heures...
(1) une scène en tout point semblable est longuement évoquée dans le film Fury
Inconscient des exactions commises derrière lui par ses hommes, mais s'en souciant de toute manière comme d'une guigne, Peiper poursuit sa route vers Ligneuville, qu'il rallie en début d'après-midi,... après avoir été brièvement retardé par un Sherman déchenillé mais néanmoins désireux de combattre jusqu'au bout (1), preuve supplémentaire, et fort ennuyeuse, du fait que les Américains - contrairement à ce qui était attendu - sont parfaitement en mesure d'opposer une résistance aussi acharnée que sans espoir.
À Ligneuville, et histoire d'entretenir la routine, une dizaine de prisonniers américains sont à nouveau exécutés... toujours en l'absence de Peiper (qui a aussitôt continué sur Stavelot) et sans que ce dernier en ait expressément donné l'ordre.
En fin de journée, Peiper et son Kampfgruppe arrivent enfin sur les hauteurs de la ville.
Les Américains n'ont pour ainsi dire rien à lui opposer mais Peiper l'ignore et, de de toute manière, ses chars lourds sont à présent loin derrière et lui-même fort à court de carburant, ce pourquoi décide-t-il de passer la nuit sur place et de n'attaquer que le lendemain matin, décision a priori judicieuse mais qui va une fois de plus lui coûter de précieuses heures...
(1) une scène en tout point semblable est longuement évoquée dans le film Fury
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