 |
| Avro Lancaster, eux aussi revêtus des "bandes d'invasion" noires et blanches |
... le lendemain, les survivants de la II /JG 6 redécollent vers Rouen.
"Nous avons été surpris par des "Mustang" surgis du soleil, dira un pilote allemand. "Je n'ai même pas vu l'avion qui m'a descendu. Tout ce que j'ai entendu a été un bruit assourdissant et mon avion a culbuté dans le ciel, la moitié de la queue arrachée" (1)
Et pour les fantassins allemands qui continuent de combattre, il est plus que jamais évident que "si un avion est camouflé, il est anglais; s'il n'est pas camouflé, il est américain;... et s'il n'existe pas, il est allemand".
Fin septembre, la Luftflotte 3 dont les effectifs, étaient déjà squelettiques avant même le débarquement, a quasiment cessé d'exister, et le peu qui en reste va alors se retrouver versé à la Luftflotte Reich qui, pendant près d'une année, continuera à combattre les bombardiers anglo-américains dans le ciel allemand.
Déjà bien incapable de s’opposer au Débarquement proprement dit, puis d’empêcher l’arrivée de constants renforts alliés sur le littoral, la Luftwaffe est maintenant au bord de l’abîme, et assurément bien incapable de continuer à s’en prendre à la Grande-Bretagne comme le souhaiterait pourtant Hitler, qui n’a toujours pas digéré l’échec de Steinbock
Mais c’est à ce moment-là que les Wunderwaffen, les fameuses "armes-miracles" dont le Führer pronostique l’arrivée depuis plusieurs mois, entrent enfin en scène...
(1) ibid, page 47
"Nous avons été surpris par des "Mustang" surgis du soleil, dira un pilote allemand. "Je n'ai même pas vu l'avion qui m'a descendu. Tout ce que j'ai entendu a été un bruit assourdissant et mon avion a culbuté dans le ciel, la moitié de la queue arrachée" (1)
Et pour les fantassins allemands qui continuent de combattre, il est plus que jamais évident que "si un avion est camouflé, il est anglais; s'il n'est pas camouflé, il est américain;... et s'il n'existe pas, il est allemand".
Fin septembre, la Luftflotte 3 dont les effectifs, étaient déjà squelettiques avant même le débarquement, a quasiment cessé d'exister, et le peu qui en reste va alors se retrouver versé à la Luftflotte Reich qui, pendant près d'une année, continuera à combattre les bombardiers anglo-américains dans le ciel allemand.
Déjà bien incapable de s’opposer au Débarquement proprement dit, puis d’empêcher l’arrivée de constants renforts alliés sur le littoral, la Luftwaffe est maintenant au bord de l’abîme, et assurément bien incapable de continuer à s’en prendre à la Grande-Bretagne comme le souhaiterait pourtant Hitler, qui n’a toujours pas digéré l’échec de Steinbock
Mais c’est à ce moment-là que les Wunderwaffen, les fameuses "armes-miracles" dont le Führer pronostique l’arrivée depuis plusieurs mois, entrent enfin en scène...
(1) ibid, page 47
1 commentaire:
Bonjour et bravo pour ce blog. C'est chaque jour un plaisir de le lire ...
Je crois que en fait de Lancaster, ce sont plutôt des Short Stirling. Voyez le nez, tout-à-fait différent ainsi que la distance relativement courte qui sépare le moteur extérieur du bout de l'aile. La photo originale sur https://zerowest.watch/invasion-stripes-d-day/?v=d3dcf429c679 permet de le voir mieux. Ce sont sans doutes des remorqueurs de planeurs.
Les moteurs ne permettent pas de faire la différence car 300 Lanc B2 furent équipés de Bristol Hercule.
Une dernière chose, je n'ai pas pu trouver la moindre photo d'époque montrant un Lanc muni des fameuses bandes Noir Blanc (vous en avez ??). Il est vrai que pour faire du bombardement stratégique, ça ne devait pas âtre top ...
Publier un commentaire