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| Mussolini, Hitler,... et pas mal de débris |
… Wolfsschanze, 20 juillet 1944, 14h30
Car pour Hitler, il est clair que le fait d’avoir échappé à cet abominable attentat est un "acte de la Providence" qui démontre s'il en était encore besoin que c’est bel et bien lui, et personne d’autre, qui peut mener l’Allemagne à la victoire !
Et le Führer, ragaillardi par cette certitude, de se précipiter ensuite à la rencontre de son "ami"Mussolini, dont le train fait son entrée vers 14h30 dans la petite gare de la Wolfsschanze
Après s’être embrassés chaleureusement, les deux hommes, bras dessus, bras dessous, visitent les ruines du baraquement où Hitler, à peine deux heures plus tôt, a bel et bien failli perdre la vie.
Pour autant, si tous les indices portent désormais vers un attentat à l’explosif, personne ne sait encore ce qui s’est passé réellement ni, surtout, qui peut en être l’auteur, lequel pourrait très bien figurer lui-même parmi les victimes ou les survivants de l’attentat.
Néanmoins, la disparition inexplicable de Stauffenberg et de son aide-de-camp ne tarde pas à être remarquée, et leur parcours reconstitué de poste de garde en poste de garde et jusqu’au petit aérodrome de Rastenburg, où les deux hommes sont aussitôt montés dans un appareil à destination de Berlin…
Car pour Hitler, il est clair que le fait d’avoir échappé à cet abominable attentat est un "acte de la Providence" qui démontre s'il en était encore besoin que c’est bel et bien lui, et personne d’autre, qui peut mener l’Allemagne à la victoire !
Et le Führer, ragaillardi par cette certitude, de se précipiter ensuite à la rencontre de son "ami"Mussolini, dont le train fait son entrée vers 14h30 dans la petite gare de la Wolfsschanze
Après s’être embrassés chaleureusement, les deux hommes, bras dessus, bras dessous, visitent les ruines du baraquement où Hitler, à peine deux heures plus tôt, a bel et bien failli perdre la vie.
Pour autant, si tous les indices portent désormais vers un attentat à l’explosif, personne ne sait encore ce qui s’est passé réellement ni, surtout, qui peut en être l’auteur, lequel pourrait très bien figurer lui-même parmi les victimes ou les survivants de l’attentat.
Néanmoins, la disparition inexplicable de Stauffenberg et de son aide-de-camp ne tarde pas à être remarquée, et leur parcours reconstitué de poste de garde en poste de garde et jusqu’au petit aérodrome de Rastenburg, où les deux hommes sont aussitôt montés dans un appareil à destination de Berlin…
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