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| Ne supportant que les premiers rôles, Montgomery quitta vite l'Italie pour la France |
* Après avoir brièvement commandé la 10ème Armée en Italie, puis hérité du commandement de la 14ème après le limogeage de von Mackensen, le général Joachim Lemelsen ne cessa par la suite d’alterner entre les deux commandements jusqu’à la Capitulation. Arrêté par les Britanniques, il témoigna à Venise en 1947 au procès de son ancien supérieur, Albert Kesselring. Libéré peu après, et rendu à la vie civile, il mourut en 1954.
* Lui aussi sacrifié par Clark, et devenu, aux yeux de l’Histoire, le responsable du fiasco d’Anzio, où il avait pourtant fait tout ce qui était en son pouvoir, et même davantage, le général John Porter Lucas, fut renvoyé et placardé aux États-Unis jusqu’à la fin de la guerre. Demeuré malgré tout au service actif, il y décéda subitement en 1949.
* Limogé par Kesselring pour n’avoir pas pu empêcher les Américains de s’extraire de la poche d’Anzio au printemps 1944, le commandant de la 14ème Armée allemande, Eberhard von Mackensen, fut mis en disponibilité, mais avec plein salaire (conformément à la coutume nazie) jusqu’à la fin de la guerre. Condamné à mort pour crimes de guerre en 1946 par un tribunal militaire britannique, il vit néanmoins sa sentence commuée à 21 ans de prison en 1947. Libéré en 1952, il mourut en 1969.
* Après avoir remplacé Oliver Leese à la tête de la 8ème Armée britannique, le général Richard McCreery prit ensuite la tête des forces d’Occupation britanniques en Allemagne et en Autriche. Ayant pris sa retraite en 1949, il mourut en 1967.
* Bernard Montgomery, qui avait quitté le théâtre italien dès l'automne 1943 parce qu’il ne supportait rien d’autre que le premier rôle, prit la tête du 21ème Groupe d’Armées avec lequel il mena, laborieusement, le Débarquement de Normandie en juin 1944 et qu’il continua à diriger, avec des hauts mais aussi de sérieux bas - en particulier à Arnhem - jusqu’à la Capitulation allemande. Très actif dans les années de l’immédiat après-guerre, anobli et couvert d’honneurs, il prit sa retraite en 1958 et mourut en 1976
* Lui aussi sacrifié par Clark, et devenu, aux yeux de l’Histoire, le responsable du fiasco d’Anzio, où il avait pourtant fait tout ce qui était en son pouvoir, et même davantage, le général John Porter Lucas, fut renvoyé et placardé aux États-Unis jusqu’à la fin de la guerre. Demeuré malgré tout au service actif, il y décéda subitement en 1949.
* Limogé par Kesselring pour n’avoir pas pu empêcher les Américains de s’extraire de la poche d’Anzio au printemps 1944, le commandant de la 14ème Armée allemande, Eberhard von Mackensen, fut mis en disponibilité, mais avec plein salaire (conformément à la coutume nazie) jusqu’à la fin de la guerre. Condamné à mort pour crimes de guerre en 1946 par un tribunal militaire britannique, il vit néanmoins sa sentence commuée à 21 ans de prison en 1947. Libéré en 1952, il mourut en 1969.
* Après avoir remplacé Oliver Leese à la tête de la 8ème Armée britannique, le général Richard McCreery prit ensuite la tête des forces d’Occupation britanniques en Allemagne et en Autriche. Ayant pris sa retraite en 1949, il mourut en 1967.
* Bernard Montgomery, qui avait quitté le théâtre italien dès l'automne 1943 parce qu’il ne supportait rien d’autre que le premier rôle, prit la tête du 21ème Groupe d’Armées avec lequel il mena, laborieusement, le Débarquement de Normandie en juin 1944 et qu’il continua à diriger, avec des hauts mais aussi de sérieux bas - en particulier à Arnhem - jusqu’à la Capitulation allemande. Très actif dans les années de l’immédiat après-guerre, anobli et couvert d’honneurs, il prit sa retraite en 1958 et mourut en 1976
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