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| Le Débarquement de Normandie : sans commune mesure avec la prise de Rome |
… Normandie, 6 juin 1944.
Car évidemment, moins de 48 heures plus tard, un événement d’une toute autre portée, et appelé à de bien plus grands développements, se déclenche à quelque 1 600 kms de là...
… le Débarquement de Normandie.
Initié aux premières heures du 6 juin, Overlord mobilise en effet plus de 1 500 000 hommes, dont 300 000 rien que pour la phase initiale, mais aussi 10 000 avions, près de 7 000 navires de toute taille, et des centaines de journalistes et de correspondants issus des quatre coins du globe, ce qui, rien qu’au niveau des chiffres, renvoie Avalanche, Shingle ou encore Diadem au rang de simples parties de campagne.
Surtout, la Bataille de France qui s’amorce offre de bien meilleures perspectives d’avancées et de progrès rapides que cette Bataille d’Italie qui dure maintenant depuis neuf mois et qui - c’est un euphémisme - est loin d’avoir exaucé les espoirs il est vrai dithyrambiques de Churchill.
De fait, malgré des débuts plutôt laborieux (1), cette Libération de l’Europe par l’Ouest réclamée par les Américains, et promise aux Soviétiques depuis le début de 1942 (!), s’avérera vite bien plus efficace que celle, par le Sud, souhaitée par les Britanniques, lesquels, bien que conservant - pour le moment du moins - la main-mise sur les opérations militaires dans la Péninsule n’en vont pas moins devoir bientôt affronter un problème autrement plus important que l’indiscipline et l'ego de Mark Clark…
(1) sur le sujet : Saviez-vous que… Un si long jour
Car évidemment, moins de 48 heures plus tard, un événement d’une toute autre portée, et appelé à de bien plus grands développements, se déclenche à quelque 1 600 kms de là...
… le Débarquement de Normandie.
Initié aux premières heures du 6 juin, Overlord mobilise en effet plus de 1 500 000 hommes, dont 300 000 rien que pour la phase initiale, mais aussi 10 000 avions, près de 7 000 navires de toute taille, et des centaines de journalistes et de correspondants issus des quatre coins du globe, ce qui, rien qu’au niveau des chiffres, renvoie Avalanche, Shingle ou encore Diadem au rang de simples parties de campagne.
Surtout, la Bataille de France qui s’amorce offre de bien meilleures perspectives d’avancées et de progrès rapides que cette Bataille d’Italie qui dure maintenant depuis neuf mois et qui - c’est un euphémisme - est loin d’avoir exaucé les espoirs il est vrai dithyrambiques de Churchill.
De fait, malgré des débuts plutôt laborieux (1), cette Libération de l’Europe par l’Ouest réclamée par les Américains, et promise aux Soviétiques depuis le début de 1942 (!), s’avérera vite bien plus efficace que celle, par le Sud, souhaitée par les Britanniques, lesquels, bien que conservant - pour le moment du moins - la main-mise sur les opérations militaires dans la Péninsule n’en vont pas moins devoir bientôt affronter un problème autrement plus important que l’indiscipline et l'ego de Mark Clark…
(1) sur le sujet : Saviez-vous que… Un si long jour
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