![]() |
| Près d'Anzio, un canon K5 sorti de son tunnel et préparé au tir |
… pour Kesselring, l’échec final des différentes contre-attaques sur Anzio, qui n’ont été lancées que sur l’insistance personnelle d’Hitler, ne représente finalement qu’un inconvénient mineur puisque les troupes alliées présentes sur place sont à présent aussi incapables de percer les défenses érigées autour d’elles que les troupes qui piétinent depuis maintenant plusieurs semaines devant les défenses de la Ligne Gustave.
Mais Kesselring n’en est pas moins conscient du fait que le Temps joue contre lui, et qu’à moins de leur allouer des ressources illimitées, les dites défenses finiront un jour ou l’autre par céder sous les assauts des Alliés, largement supérieurs en nombre comme en matériel.
En prévision de cet effondrement, il importe donc, dès à présent, de constituer… une nouvelle ligne de défense - la Ligne César - entre Anzio et Rome, c-à-d courant approximativement de l’embouchure du Tibre, sur la Mer Tyrrhénienne, jusqu'à Pescara, sur la Mer Adriatique !
Ainsi, et que les Alliés viennent à percer à Anzio, à Cassino ou en quelque autre endroit du Front, les troupes allemandes n’auront plus qu’à se replier sur une nouvelle ligne de fortifications déjà aimablement préparées à leur intention !
Mais dans l’intervalle, et puisque les 100 000 soldats alliés présents à Anzio sont fort opportunément entassés sur un périmètre de seulement quelques dizaines de km2, Robert et Leopold vont se charger de les tenir constamment en haleine et de leur ôter ainsi tout désir de se lancer dans une nouvelle offensive…
Mais Kesselring n’en est pas moins conscient du fait que le Temps joue contre lui, et qu’à moins de leur allouer des ressources illimitées, les dites défenses finiront un jour ou l’autre par céder sous les assauts des Alliés, largement supérieurs en nombre comme en matériel.
En prévision de cet effondrement, il importe donc, dès à présent, de constituer… une nouvelle ligne de défense - la Ligne César - entre Anzio et Rome, c-à-d courant approximativement de l’embouchure du Tibre, sur la Mer Tyrrhénienne, jusqu'à Pescara, sur la Mer Adriatique !
Ainsi, et que les Alliés viennent à percer à Anzio, à Cassino ou en quelque autre endroit du Front, les troupes allemandes n’auront plus qu’à se replier sur une nouvelle ligne de fortifications déjà aimablement préparées à leur intention !
Mais dans l’intervalle, et puisque les 100 000 soldats alliés présents à Anzio sont fort opportunément entassés sur un périmètre de seulement quelques dizaines de km2, Robert et Leopold vont se charger de les tenir constamment en haleine et de leur ôter ainsi tout désir de se lancer dans une nouvelle offensive…

Aucun commentaire:
Publier un commentaire