Reddition de l'équipage d'un Panzer III, à El Alamein |
… même s’il se limite pour l’heure à une simple ligne directrice, ce qu'on pourrait appeler, vingt-sept ans après Gallipoli, le "nouveau plan de Churchill" implique tout de même de voir les Américains renoncer à leur principal objectif, à savoir débarquer directement sur les côtes de France
Mais à la stupéfaction de son propre État-major (!), le Président Roosevelt se montre plutôt favorable au plan britannique qui, s’il est tout sauf straight to the point, présente tout de même, et sur le papier du moins, de sérieux avantages,... à commencer par la perspective de victoires somme toutes faciles, que l'on pourra avantageusement présenter à une opinion publique américaine qui, depuis Pearl Harbor, se désespère de n'entendre que de mauvaises nouvelles en provenance du Pacifique.
Un tranquille débarquement en Afrique du Nord, à mener à l’automne de 1942, évitera du reste aux troupes américaines de se morfondre pendant de longs mois dans les casernes britanniques avant que l'on parvienne à réunir suffisamment de matériel et de navires pour organiser un débarquement en France avec des chances raisonnables de succès.
Il leur permettra également de s'aguerrir et de se préparer aux combats - bien plus difficiles - qui s’ensuivront forcément.
Et puis, les chemins de traverse étant parfois les meilleurs, peut-être cette étrange stratégie britannique s’avérera-t-elle la bonne et permettra-t-elle d'arriver à Berlin sans risques ni pertes excessives…
Mais à la stupéfaction de son propre État-major (!), le Président Roosevelt se montre plutôt favorable au plan britannique qui, s’il est tout sauf straight to the point, présente tout de même, et sur le papier du moins, de sérieux avantages,... à commencer par la perspective de victoires somme toutes faciles, que l'on pourra avantageusement présenter à une opinion publique américaine qui, depuis Pearl Harbor, se désespère de n'entendre que de mauvaises nouvelles en provenance du Pacifique.
Un tranquille débarquement en Afrique du Nord, à mener à l’automne de 1942, évitera du reste aux troupes américaines de se morfondre pendant de longs mois dans les casernes britanniques avant que l'on parvienne à réunir suffisamment de matériel et de navires pour organiser un débarquement en France avec des chances raisonnables de succès.
Il leur permettra également de s'aguerrir et de se préparer aux combats - bien plus difficiles - qui s’ensuivront forcément.
Et puis, les chemins de traverse étant parfois les meilleurs, peut-être cette étrange stratégie britannique s’avérera-t-elle la bonne et permettra-t-elle d'arriver à Berlin sans risques ni pertes excessives…
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