Un Panzer III de la DAK : l'Allemagne à la rescousse de l'Italie... |
... pour l'Italie, la débâcle est complète, et toute la Libye, conquise en 1911, à présent sur le point de tomber.
Mais comme souvent dans le désert, ce sont à présent les Britanniques, dont les lignes d'approvisionnement se sont démesurément allongées, qui peinent à recevoir le ravitaillement indispensable à la poursuite de leurs opérations.
Surtout, Mussolini dispose d'un atout dans sa manche : soucieux de lui éviter la déconfiture totale, Hitler a en effet décidé d'envoyer un corps expéditionnaire allemand à sa rescousse.
Constitué à la hâte, et de bric autant que de broc, le "Deutsches Afrikakorps" (DAK) ne représente pourtant pas, du moins sur le papier, une force particulièrement impressionnante : à la différence de leurs adversaires, dont les effectifs demeureront d'ailleurs constamment supérieurs aux leurs, les Allemands ne bénéficient de surcroît d'aucune connaissance préalable du terrain, même s'ils peuvent compter, en la présence d'Erwin Rommel, sur un chef aussi compétent que combatif, mais aussi sur cette dynamique de la victoire qui, à la différence de leurs alliés italiens, les a vus triompher sur tous les théâtres d'opérations depuis 1938.
Et de fait, l'arrivée de Rommel et de la DAK bouleverse rapidement la donne : en peu de temps, Britanniques, Indiens et Australiens se voient en effet contraints d'abandonner Tobrouk et de battre en retraite sur plusieurs centaines de kilomètres, ce qui, provisoirement du moins, sauve la Libye italienne...
Mais comme souvent dans le désert, ce sont à présent les Britanniques, dont les lignes d'approvisionnement se sont démesurément allongées, qui peinent à recevoir le ravitaillement indispensable à la poursuite de leurs opérations.
Surtout, Mussolini dispose d'un atout dans sa manche : soucieux de lui éviter la déconfiture totale, Hitler a en effet décidé d'envoyer un corps expéditionnaire allemand à sa rescousse.
Constitué à la hâte, et de bric autant que de broc, le "Deutsches Afrikakorps" (DAK) ne représente pourtant pas, du moins sur le papier, une force particulièrement impressionnante : à la différence de leurs adversaires, dont les effectifs demeureront d'ailleurs constamment supérieurs aux leurs, les Allemands ne bénéficient de surcroît d'aucune connaissance préalable du terrain, même s'ils peuvent compter, en la présence d'Erwin Rommel, sur un chef aussi compétent que combatif, mais aussi sur cette dynamique de la victoire qui, à la différence de leurs alliés italiens, les a vus triompher sur tous les théâtres d'opérations depuis 1938.
Et de fait, l'arrivée de Rommel et de la DAK bouleverse rapidement la donne : en peu de temps, Britanniques, Indiens et Australiens se voient en effet contraints d'abandonner Tobrouk et de battre en retraite sur plusieurs centaines de kilomètres, ce qui, provisoirement du moins, sauve la Libye italienne...
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